Constater l’étendue de l’apocalypse
Juger par les ténèbres des abysses
Rire, encore, un son qui se déchire
Un acier de saphir
Violenté, exclu, déchu de soit-même
Tout oublier par la Lune, rebâtir peut-être
Etre, réellement, après l’armaggeddon
Parcourir le monde en ayant subit l’enfer
S’exprimer, inventer, évoquer les possibilités
Admettre, à l’instar, qu’un chemin est propice
Dissoudre la lumière, par la suite, toujours ici
Un accès direct à la noirceur de l’esprit
Jouer les mots, rythmiques brisées
Cassure, violence, abandon, reprise
Crescendo acide mélancolique
Le chant des damnés, enfin il paraît
Autodirection, no contrainte, balade cynique
Désordonné mais tempo, suivre la cadence
Se souvenir, peut-être, un instant de doute
Se libérer de la nature même du carcan
Quoi qu’il en soit, sourire vibrant, soleil
Astre zélé des mille légions folles
Avoir du génie, ou pas, sans importance
Avoir surtout du cœur pour voir la musique
Concluez, oui ou non, d’une touche de cynisme
Rationnel ?
Certainement pas…