Bonjour, visiteur, bienvenu sur les forums Forum BloodWars - www.fr.bloodwars.net. Si c’est votre première visite, nous vous invitons à consulter l’Aide. Elle vous expliquera le fonctionnement de cette page. Pour avoir accès à toutes les fonctionnalités, vous devez vous inscrire. Pour cela, veuillez utiliser le formulaire d’enregistrement, ou bien lisez plus d’informations sur la procédure d’enregistrement. Si vous êtes déjà enregistré, veuillez vous connecter.
Maelström
Silence hurlant
Peur de partir
Désir lancinant
Des mots qui déchirent
Nos lèvres closes
La haine en vers
Les larmes en prose
Le cœur ouvert
Dégage…
Non ne pars pas!
Juste un mirage?
En arrière un pas
Croire
Désillusion du cœur
Pouvoir
Encore des douleurs
Immobile
À deux souffles de toi
Debout sur un fil
Regarder en bas
J'abdique
Tu recules
Panique
Les ailes brûlent
Chute libre
Abrupte falaise
Mauvais calibre
Conscience mauvaise
Je crie
Tu faiblis
Toi qui tombe
Je succombe
Mains qui s'entrelacent
Rancœurs qui s'effacent
Le reste trépasse
Je cède ma place
Pense
Je pardonne
Oubliée la démence
Que la rage donne
Dors
Oublie
Une seconde encore
Aléa de la vie
Sortir d'une prison
S'enfuir au loin
Au cœur une chanson
Partir enfin
Être malade
Ne plus entendre
Le poison en rasades
Encore attendre
Ici sans un mot
Là-bas sans une arme
Morts les oiseaux
Dans le cœur une larme
Écouter une voix
Ne pas entendre les paroles
Hurler encore une fois
L'espérance s'envole
Lumière
Ténèbres
Êtres chers
Chant funèbre
Une voix
Puis plus rien
Même plus l'émoi
Juste la fin
Mélodie mélancolie
Chant du néant
Ode à la vie
Portés par le vent
Pourquoi?
Sans mobile
Tremblement du roi
Avoir coupé le fil
Comment?
Si simplement…
Mais quand?
Maintenant
Supplique muette
Larmes en pluie diluvienne
Balle en pleine tête
Glacier de peine
Le coup
La frappe
À genoux
Plus de trappe
Regard vide du bourreau
Coupable innocence
Œillade vers le haut
Réponse du silence
Adieu…
Non, au revoir
Vers les cieux…
Espérer sans vraiment croire…
Dans tes yeux
Loin des miens
Oublie heureux?
N'être rien…
Que sonne le glas de la Mort, que résonne la colère des cieux déchaînés, que s'élèvent les hurlements de désespoir et les suppliques vaines, que déferle le torrent des flammes infernales, que coule le sang de ces vies impies, que perlent à leur paupière le regret de leur vie souillée. Mais que cesse enfin, cet insipide et insidieux battement dans ma poitrine...
Ouh bah ça fuse les commentaires...
Que sonne le glas de la Mort, que résonne la colère des cieux déchaînés, que s'élèvent les hurlements de désespoir et les suppliques vaines, que déferle le torrent des flammes infernales, que coule le sang de ces vies impies, que perlent à leur paupière le regret de leur vie souillée. Mais que cesse enfin, cet insipide et insidieux battement dans ma poitrine...
Beaucoup de mots qui se suivent... tous les uns après les autres... mais j'aime bien
j'apprécie la façon (ou plutôt les choix de mots) dont tout est dit... par contre j'oublie le début le temps d'arrivé sur la fin
Serais-tu atteint par hasard du syndrome du poisson rouge? Bienvenue au club! XD
Rhôôôôôô bah c'est pas si long pour une fois " y a pas tant de mots par ligne contrairement à d'habitude
Des mots, des mots, des mots, encore des mots, mais des mots qui murmurent le vent du coeur...
Que sonne le glas de la Mort, que résonne la colère des cieux déchaînés, que s'élèvent les hurlements de désespoir et les suppliques vaines, que déferle le torrent des flammes infernales, que coule le sang de ces vies impies, que perlent à leur paupière le regret de leur vie souillée. Mais que cesse enfin, cet insipide et insidieux battement dans ma poitrine...
j'aime bien me perdre dans les poèmes et là c'est le cas
serais-je moi aussi atteind du syndrome du poisson rouge ?
http://r1.fr.bloodwars.net/showmsg.php?mid=22500317&key=d1e509143e
Pseudo UT3 : Rachmaninoff
J'ai bien l'impression que c'est une maladie qui se répand à toute allure
Que sonne le glas de la Mort, que résonne la colère des cieux déchaînés, que s'élèvent les hurlements de désespoir et les suppliques vaines, que déferle le torrent des flammes infernales, que coule le sang de ces vies impies, que perlent à leur paupière le regret de leur vie souillée. Mais que cesse enfin, cet insipide et insidieux battement dans ma poitrine...