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21. 11. 2008, 16:55

[RP perso] L'aube d'une nuit profonde

Je me présente, mon nom est First... Un nom que l'on m'a donné sans mon consentement mais cela n'a plus d'importance désormais.
Je vais vous conter mon histoire.

Tout commença il y a bien longtemps, la guerre ne ravageait pas le monde, tout était paisible sous le joug des humains.
Moi? je vivait en italie avec ma famille, enfin mon frère et mes deux soeurs, nos parents étant parti pour un voyage qu'ils nous promettaient court.

Ayant toujours vécu dans le respect de mes soeurs, Mélinda l'aînée et Sarah la benjamine, je regardait toute femme de la même façon,
mon frère quand a lui nous protégeais de tout ce qu'il pouvait nous arriver, je le pris d'ailleurs bien vite comme un exemple,
même si je faisait souvent les 400 coups dans le voisinage.

Une nuit ma soeur ainé invita son petit ami, un homme plus âgé, grand, au regard perçant auquel je refusait d'adresser la parole ou prêter un regard.

Alors que je m'amusait avec Sarah on pu entendre Mélinda se mettre a hurler, je retint ma petite soeur pensant la protégé et m'en alla voir ce qu'il s'était passé,
le sang de Mélinda a moitié nu coulait sur ses draps depuis sa gorge, l'homme tenait mon frère fermement dans sa main et lui broya la nuque en m'entendant,
je me suis précipité dehors et ai demander de l'aide,
les cris de Sarah sont parvenu au oreilles de tous, mais l'homme sorti nonchalamment en disant au gens que ce n'était rien, qu'ils devraient rentré chez eux, qu'ils pouvaient lui faire confiance,
puis me saisissant il m'entraina a l'intérieur, je pu voir le corps inanimé de ma soeur qui gisait par terre, comme endormi dans un profond sommeille.

Alors l'homme s'arrêta, m'observant avec une lueur sanglante dans les yeux,
de rage j'appuyai mes pouces sur ses globes oculaires qui finirent par éclater sous la pression, une violente douleur me parcourra par la suite et je ressentait la succion qui s'ensuivit,
la douleur et la crispation laissant place a un extase inavouable.

Par la suite je me réveillais,
autour de moi beaucoup me regardais, on m'annonça la mort de mes proches, la fuite de leurs agresseur et le soin de mes propres blessures, on m'avais aussi dit que je souffrais d'une forte photophobie et que je serais rapidement placé dans un foyer spécialiser dans lequel d'autres enfants souffrait par la faute de l'astre solaire...
mais tout cela n'était que la première illusion... tant d'illusions ... et le début d'une nuit éternel.

Ce message a été modifié 5 fois, dernière modification par "ninix" (28.11.2008, 10:02)


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25. 11. 2008, 03:42

J'étais un enfant normal en ce lieu, on nous faisait sortir la nuit ou le jour peu de temps habillé d'une tenue spécial en nous disans qu'on était cosmonaute... mais je ne me sentais pas l'ame d'un cosmonaute, les gens nous regardais comme des étrangetés, comme si nous allions les tuer, on étais rejeté et même parmis ceux qu l'on disait être "ma famille" tous me rejetais.

Une sensation de plus en plus violente me brûlait l'estomac, un besoin, une envie, une chose que rien ne semblait assouvir et avec laquelle j'appris a vivre, bien que beaucoup semblait avoir peur de mes yeux injecté de sang.

Durant la nuit de mon 17 eme jours de "détention" une des filles du dortoir me rejoint, une des plus rejeté de nous tous après moi,
elle s'installa timidement près de moi en me demandant si elle ne me dérangeait pas, je lui répondit de venir, que je n'allais pas la manger,
et après une assez longue discussion, elle m'offrit timidement un premier baiser, l'excitation se mis a me gagner, je l'embrassait avec fougue, descendant a son cou, plantant mes canines dans son artère et suçant le liquide qui en coulait par la suite,
mon corps frissonna d'un intense bien être et elle gémissait aussi de plaisir, jusqu'à ne plus en bouger, jusqu'à s'effondrer, alors que je léchait avidement la dernière goutte de son sang.

L'un des responsable entra pour dire que nous devions dormir, son regard témoignait de l'horreur qu'il ressentait, je m'écriai: "Je l'ai trouvé comme sa !!! il faut l'aider vite !!!!"

Le responsable s'empressa de la soulever et la lança contre un mur, il la frappait encore et encore, rouant son corps sans vie de coups avant d'être arrêter par un autre de ce qui avait la responsabilité de nous alors qu'une des femmes de "l'équipe" me tenait avec tendresse contre elle pour me protégé, en cet instant j'étais bien, rassuré par la chaleur et la protection d'autrui...
Douce illusion, sûrement la plus douce...

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "ninix" (25.11.2008, 03:46)


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23. 12. 2008, 19:38

Finalement l'étreinte s'arrêta, le moniteur fut juger et condamné et a nouveau j'étais seul, seul et rejeté.

On me regardait avec dédain, parfois avec haine et pourtant toutes les sept nuits des "cosmonautes" disparaissaient, a chaque fois qu'il y avais des traces elles menait a des responsables, a chaque fois aucun soupçon ne pesait sur moi et pourtant... pourtant j'étais belle et bien responsable de tout cela, mais étrangement on m'aidait a chaque fois soit par pur altruisme soit parce que "on savait que je n'était pas le genre a faire cela" mais se fut belle et bien moi et cela n'arrêterait pas.

Quelques mois plus tard on nous changea de lieu pour nous protégé, les gens y étais gentil mais distant, bien trop distant.
A l'époque je me pensais amoureux de l'une des éducatrices,
un jour où j'avais demander un entretien pour parlé de "problèmes" et de "mal-être" je tenta d'apposer mes lèvres contre les siennes,
elle essaya de se débattre mais mes mains se refermèrent sur ses poignets et je parvins a la retenir entièrement,

j'appuyais mon corps contre le sien pris d'un désir charnel intense, mais la faim repris le dessus avant que je ne puisse la dévêtir suffisamment et mes canines s'enfoncèrent doucement dans une de ses artères, je l'entendait prendre plaisir a mon "baiser" alors que doucement son corps se refroidissait et qu'elle s'éteignait.

Un des éducateurs vint en l'entendant ainsi, il semblait ne pas pouvoir contenir son envie et je m'éloignait alors qu'il m'écarta en me disant de le "laisser faire",
malheureusement pour lui je me mis a alerter tout le monde et une fois encore une personne avait succomber a l'illusion qui recouvrait mes repas me protégeant ainsi des autres... ceux que j'avais pourtant envie d'aimer et de qui je souhaitait être aimé.

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30. 12. 2008, 08:13

On continuais a nous bercer d'espoir et autres choses tout aussi illusoire que l'attention des gens a notre égard,
tous n'avais que pitié pour nous et évidemment une paie a la fin du mois.
Nous? Nous vivions tout cela dans le feu de l'action, sans le recul de ceux qui étais responsable de nous,

là où ils faisait des erreurs nos vies se brisaient un peu plus, quand eux rentraient chez eux et oubliaient "le boulot" nous continuions a vivre et subir chaque jour le supplice d'une vie qui nous rejetais, comme pris dans une spirale de tourmentes que nous pouvions supporter seulement en fermant les yeux, en ne souhaitant pas voir la réalité, en nous bordant de l'illusion qu'on nous offrais.

Certain rêve d'avoir une femme, des enfants, les emmener au parc et prendre un déjeuner tous ensemble sous le soleil, rester allongé sur l'herbe en sentant le vent chaud caressé leurs visage et regarder leurs enfants rire et s'amuser,
nous, les "cosmonautes" ne pouvions rêvé de cela, condamné a être différent, a l'écart, vivre sans avoir ne serait-ce que l'espoir de pouvoir être comme les autres, de chercher le bonheur, de vivre réellement.

Beaucoup d'entre nous souhaitais mettre fin a leurs jours, incapable de se contenter de l'illusion de bonheur qu'on avais en guise d'avenir,
je les aidait, prenant leurs vies et leurs sang soit en faisant passé cela pour un suicide soit en me faisant aider d'autres,
jusqu'au moment où l'illusion pris fin, que le mirage de ma toute puissance prenne fin,
celui où un être plus puissant que moi me dévoila ma nature, celui où le "cosmonaute" se révéla être un vampire, un capteur d'esprit très précisément...

Tout cela par la faute de cet homme... Je ne puis dire si je lui en veux ou si je lui en suis reconnaissant... Mais revenons en a ce qui nous intéresse.

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31. 12. 2008, 04:01

L'homme... grand, svelte, brun, des cheveux court et un regard empli d'une sombre douceur,
il était venu suite au manque d'éducateurs et tous semblait l'apprécier pourtant les disparus augmentait de plus en plus, je savais que je n'étais plus seul, non quelqu'un d'autre oeuvrait en ce lieu.

Un soir l'une des éducatrice s'approcha de moi en silence, elle m'enlaça avec tendresse et douceur et a ce contact je me mit a fermé les yeux, profitant de chaque instant de chaleur et de tendresse... de chaleur... oui a l'époque je ne savais nullement ce que cela pouvait être.

Une détonation se fit entendre, l'éducatrice s'écroula au sol et en me retournant je vit l'homme, la femme a terre, deux longue canines dépassant de ses lèvres et une étrange lueur dans son regard, un symbole bizarre étais visible au bord de son décolleté que l'homme élargi sans gène.

Un espèce de cercle duquel semblait sortir des volute de fumée et empli de glyphes ornait la poitrine de la femme, celui-ci semblait se dissimulé a notre vue puis se mis a disparaître entièrement tout comme les canines de la femme et peu a peu la blessure qu'elle avait subit.

Mon sauveur s'exclama: "enfoirés de cultistes vous avez pas perdu votre temps" puis il me tira par la main me promettant que je comprendrais les choses bien assez vite et que mon rôle se révélerai au moment propice.

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "ninix" (01.01.2009, 02:30)


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01. 01. 2009, 10:49

Nous avions ralenti sans avoir parcouru une longue distance, la nuit étais sombre et térriblement apaisante, l'homme me conduit jusqu'a une grande batisse, le "siège".

Tout les murs étais blanc et nu de toute décoration, beaucoup de gens étais présent, le sol et l'atmosphère semblait glacé et un grand nombre de voix se faisait entendre sans pour autant que le moindre mouvement de lèvres soit perceptible,
mon sauveur me conduit jusqu'à une petite chambre avant de me laisser après avoir prononcé ces paroles:

"nous allons voir ce dont tu est capable en tant que capteur d'esprit puis nous verrons quoi faire de toi ... ah et ... bienvenue a la maison."

Je pu voir un sourire se dessiné sur son visage et le mien lui en donna la réciproque,
on fit venir plusieurs personnes, des humains avant qu'une voix dans ma tête résonne fortement couvrant ainsi toutes les autres.

"Bienvenue a toi, tu sera nommé First, car le premier membre détaché de notre nouveau département de controle historique humain.
Les personnes que tu voit te voue toutes une haine féroce, leurs vision leurs sera rendu et ils chercheront a te tuer, si tu ne réussi pas a leurs faire changé d'avis tu mourrera."


A peine les paroles prononçé que tous se jettèrent vers moi,
je me mis a hurlé:

"Arretez !!!!!"

Et ils se stoppèrent, surpris je poursuivis:

"Vous êtes seuls victimes de ce qu'ils vous arrivent, seuls résponsable de votre malheur,
la vie ne vous a pas condamné, vous l'avez fait de vous même, tout cela est de votre faute c'est pour cela que d'autres réussissent là où vous échouez,
tuez les résponsables, mourrez pour expié vos fautes, tuez vous, mourrez, TUEZ VOUS!!!!!"


Des larmes rouge se mirent a perlé sur mon visage, je les sentait épaisse et collante, glissant lentement tel de la sève pourpre coulant d'une écorce brisé,
et mes victimes s'exécutèrent... dans tous les sens du terme.

Un homme apparu hors de l'ombre, je ne l'avais pas vu,
ses yeux étais vitreux, ses canines planté dans ses lèvres ensanglanté... il venait de perdre le contrôle de ces personnes et en avais perdu l'esprit aussi, par compassion je mit fin a son calvaire,
mes canines planté profondément dans son artère et son sang coulant en moi, remplissant mes veines alors que mon esprit s'embrouillait de la disparition d'une illusion, celle de ma vie passé, celle où j'étais libre.

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "ninix" (07.01.2009, 09:41)


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07. 01. 2009, 09:56

Et les tests se poursuivirent, des humains perdaient la vie, des capteurs d'esprit perdaient la raison, tout cela pour voir mes capacités,
mais tout changea lorsque on m'emmena un prisonnier, je devais le rendre fou, brisé son mental et lui faire dévoilé ses plus sombre pensées,
lui me regardait avec haine ne cessant de répété que les rites ancien ne mourraient pas, que notre domination ne se ferait jamais.

Petit a petit sa voix se mis a emplir ma tête brouillant ainsi les pensées que je voulait lui imposé jusqu'à ce que les siennes soit suffisamment ancré et ne puisse plus être terrassé par mes capacités.

Un capteur d'esprit mis fin au jour du prisonnier donc les gravures sur le corps s'effacèrent d'une façon qui m'étais particulièrement familière,
je m'attendait a avoir échouer mais cela n'étais pas le cas,
on m'expliqua que cet homme étais un cultiste, un vampire d'une autre races, qu'il existait 7 races en ce monde et que je faisait parti des capteurs d'esprit la race la plus habile et dominante mais que nos facultés n'affectaient pas les vampires.

On me fit aller directement a mon nouveau poste,
j'étais en charge de l'Asie et devais m'assurer que l'Histoire suivrais le cours de mes confrères...

Et l'illusion de renouveau et de puissance s'effondra par sa faute, laissant place a une autre illusion, celle des rêves et des espoirs, celle de la liberté gagné par ses propres forces... Lui...
Le Ronin Rouge...

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14. 01. 2009, 08:46

Tout se passait correctement, l'Histoire suivait le cours que nous avions décider, le japon étais un pays fermé et la chine prenait des ampleur de superpuissance au fur et a mesure du temps,
la pensée collective et les documents écrit étais entièrement sous notre contrôle,
l'illusion que j'offrais en venait a m'apaiser, comme si je pouvais contrôler les choses, comme si je pouvais choisir,
jusqu'au jour où un être s'échappa de notre emprise,

un Ronin qui traversa tout le continent en ne laissant qu'une traîné de sang derrière lui, un homme qui avais su brisé toute les chaînes l'entourant pour ne vivre que par lui même,
un être exceptionnel qui par sa propre volonté avais su changé sa vie,
une personne que j'enviai moi qui ne pouvait me débattre, regardant la vie a travers le voile du destin qui je ne cessait de façonner... tout du moins que je pensais façonner.

L'incident fut vite effacé et mes confrères poursuivirent le rebelle, mais a aucun moment ils ne purent intervenir,
la vie en revanche l'avait fait: il fut ensuite mené en exil vers le nord,

heureux d'un tel dénouement mes frères de sang le laissèrent a son destin reprenant leurs manipulation pour forgé leurs puissance
permettant ainsi au mien de poursuivre le cours que je lui connais, que j'estime connaître et que je raconte ainsi sans être vraiment certain de mes dires peut-être eux même manipulé comme je l'ai tant fait.

Mais la menace n'en étais pas moins absente, bien au contraire,
en revanche elle n'étais pas au nord là où mon attention était fixer,
plutôt au sud, en Afrique, terre aride dont un peuple sanguinaire étais connu et reconnu de tous, les Cultistes, des vampires qui n'avait qu'une philosophie, une philosophie axé sur le passé...
passé... comme si cela avait de l'importance, comme si le présent si vivace et l'avenir si menaçant ne se suffisait a eux-même...
le passé sans cesse grandissant qui repousse le présent vers l'avenir infini...

Une incessante batailles se déroulait dans l'ombre entre nous les capteurs et eux,
la raison?
Nous voulions dominé alors qu' ils n'acceptait qu'une domination, celle des anciens et de leurs rituels, celle des
traditions et du passé empli d'une sagesse perdu et de pouvoirs ancien alors que, nous, voulions seulement contrôler l'avenir, décidé de la voie a suivre et influencer nos non-vie de tel sorte que tout ne soit qu'élément de notre volonté...eux le voulait tout du moins, en ce qu'il me concerne je n'en savait rien, car pour vouloir il faut connaître et pour connaître il faut vivre... piégé par mes chaînes je ne le pouvait alors je me laissait entraîner par la volonté des autres.

Peu a peu les manipulation changèrent,
des guerres furent déclaré et des batailles mené pour le simple plaisir de ceux qui m'entourait, "un jeu d'échec dont nous somme maîtres et dont l'issu n'est que victoires vampirique et défaites humaine" disait-on, mais disait-on la vérité?

A ce moment je ne cessait de pensé a cet homme qui avais su brisé notre contrôle, a celui qui m'avais démontré les limites d'une collectivité et le pouvoir d'un seul, je l'enviais et l'admirait tant que je ne pu me résoudre a l'oublier, laissant ainsi une trace de son existence au travers ma mémoire laissant la rêverie m'illusionner et pensant a ce qu'il pouvait bien faire, rêvant d'aventures et de liberté, rêvant d'objectif et de petit bonheur acquis par soit même.

A ce moment j'étais seul, seul sur un chemin de doutes et de déchirures, a observé le sourire sadique de ceux qui écrasait par haine,
m'étais-je tant éloigné de mes rêves? Avais-je tourné le dos a l'attention et l'amour d'autrui?

Cela n'aurais rien changé d'avoir les réponses... rien n'aurais pu changé quoique se soit, jusqu'à l'invasion des cultistes qui était écrite dans le destin,

à ce moment nous étions pris au dépourvu et le jeu se mit a dérapé,
une arme atomique fut lâché avant que nous concentrions nos efforts sur nos ennemis... mais les humains, libéré de nous, ripostèrent se lançant par eux même dans une guerre nucléaire impitoyable.

Il y eu beaucoup plus de survivant que nous pouvions le pensé bien que le monde avais été brisé en grande parti,
la guerre contre les cultistes continuait et je fut libéré de mon poste,
mais alors que la menace venant du sud étais enfin notre priorité une autre se révéla... venant du nord... les seigneurs des bêtes s'éveillèrent a ce nouveau monde et sans que nous le sachions les autres races et nous même avions été découvert par les humains...
les chinois agir par la création d'une arme mortel alors que d'autres travaillait a un virus...
et celui qui avait tant hanter mes pensées réapparu, je recréa les souvenirs de lui parmi certaine personne, et le fit nommé, Tengu No Suzaku... le démon revenu des morts.

Ce fut ainsi que le monde actuel pu voir le jour, les absorbeurs et les nanites venait de germé en ce monde en proie a des changements qui serait bien vite rendu obsolète par les autres qui suivirent.

J'allais être témoin de ce qui fut la fin de l'humanité, l'avènement des vampires et la naissance des cités...

Pourtant je ne pensais qu'a moi et mon devenir, ne pensais qu'a ma volonté et mes désirs, ne cessant d'espérer qu'en ce renouveau une place me soit destiné...
espoir... douce illusion de celui qui chute les yeux fermé dans le néant de l'absolu sans fin.

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "ninix" (27.01.2009, 05:22)


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27. 01. 2009, 06:03

Les capteurs d'esprit furent séparé et j'en avais profité pour tenter d'aller a la rencontre de celui que j'admirai tant,

en chemin alors que je me renseignait je pu apprendre qu'une expédition allait être lancer, sans y prêter attention je continuait de chercher les traces de celui qui était désormais vampire.

Les légendes sur des vampires capable d'affronter sans peine d'autres vampire en utilisant leurs propre forces ne cessait de s'accroître et on les nomma absorbeurs,
a ce moment je n'en avais rencontré aucun et n'y avait pas prêter attention car bien trop concentré sur un seigneur des bêtes.

Le monde était un champs de ruines qui pliait a chaque combat, un monde ébranlé fait de roche et dont la vie semblait s'évaporer pour ne laisser qu'un désert inondé de larmes et de sang dans lequel seuls des ombres pouvait persister... des ombres et les nouveaux venu de ce monde: les nanites.

Plusieurs races disparurent par la faute des nanites et les cités furent créer,
je faisait parti de ceux qui vivait a Moria...
la plus jeune cité du monde, bâtiment éventré dont le sang ne semblait jamais s'écailler, et dont l'odeur de mort ne s'estompait que lorsque l'odeur de fumé prenait place.

Les éléments se mirent a ralentir, le temps semblait se figer,les vampires s'entre-tuant, devenu maître d'un monde qui leurs ressemblait: froid et dénué de vie, constamment brisé par une incessante destruction... et pourtant
éternel.

Je m'étais trouvé une petite habitation, un lieu sombre et glacial dont la décoration était aussi existante que la vie en moi,
un lieu qui me ressemblait, a moi dont toutes les illusions furent brisé, moi sur qui le temps ne semblait plus avoir de prise...ne semblait plus...

Je regardais chaque nuit avec le même regard terne et empli d'un profond désespoir, d'une absence d'envie aussi profonde qu'intense,

je regardait ainsi chaque étoiles qui ne cessait de briller comme pour montré son existence,
elles aussi je les enviait, moi qui ne pouvait briller pour prouver mon existence, moi qui n'était en rien sur d'exister.

Le temps passait encore et encore dans ce lieux immobile que seuls les spasmes du combat semblait animé et chaque instant me semblait une torture que je décida d'achever par la lumière du jour,
sortant dehors en pleine journée je levais mon regard au ciel avant de laisser mes joues s'inonder de larmes et ma peau brûlé, avant qu'un humain ne me bouscule et me force a revenir dans les ténèbres de mon lieu d'agonie.

On ne parla pas bien longtemps mais suffisamment pour qu'il m'explique ce que les humains appelait la philosophie, que certain d'eux avait chercher les réponses a mes questions et que je mette fin a sa vie selon son souhait.

Je repris les armes et me forgea une petite escorte d'humain, traversant la cité a la recherches de livres qui contiendrait les questions et peut-être réponse que mon âme ne cessait de demander,

vue ainsi la cité était loin d'être morne,
en perpétuel mouvance, empli de prédateur et de proie, de prédateur finissant proie, de proie dévorant leurs prédateur, comme si a travers la violence les gens avait trouvé une raison d'être, comme si en détruisant il se créait...

Finalement mes recherches avait attiré l'attention, et après quelques balles que je pu esquiver sans mal toute mon escorte tomba a terre,
face a moi se tenait une grande silhouette sombre dont seul deux rubis ressortait pour me fixer avec amusement.

je fut ainsi pris sous l'aile de Bloodlovin qui jura de m'apprendre la non-vie si j'arrêtai de parlé d'illusions... savait-il seulement que les promesses n'était qu'illusion d'une volonté pourtant enchaîner par la vie et dont elle ne pouvait rien y changer?

Bloodlovin répondait a mes innombrable questions avec un éternel sourire, plaisantant sans cesse et prenant chaque chose avec une légèreté déconcertante, comme si rien ne pouvait l'atteindre, comme si il était d'un autre monde...

absorbeur qui avait su créer l'illusion de son être a travers des frasques qui ne faisait que dissimuler une réalité douloureuse.

Une journée, alors que nous étions près d'une cheminée je pouvait voir a travers son regard rouge l'étendu de sa souffrance,
il me parla de sa fille, de ce qu'il avait perdu, de sa décision de continuer pour elle, pour lui montré ce que son père pouvait faire, pour lui prouver son amour...
son visage était glacial, ses yeux semblait fondre et couler le long de ses joues en de longues traces écarlate... je pu ainsi apprendre que derrière les sourires, rires et plaisanteries pouvait se cacher l'illusion la plus étrange qui soit, et que derrière ce voile il n'y avait que souffrance...
c'est parfois derrière les plus beau sourire que se dissimule la plus profonde et sombre mélancolie...


10

31. 01. 2009, 06:25

Bloodlovin me faisait découvrir le monde, ce qu'il en savait, ce qu'il avait découvert, ne cessant de parlé et transmettre ce qu'il pouvait, ne cessant ne dissimuler les véritable ténèbres enfoui dans son regard.

On partait de temps a autre en chasse et je commençais a devenir plutôt bon sous ses conseils,
mais ce qui était le plus impressionnant était la façon dont il se battait,
relâchant son être et fondant infaillible sur ses proies, ne pensant ni a la vie ni a la mort ni a la douleur même, il se battait contre des masses d'ennemis en fermant les yeux et se fiant uniquement a ses autres sens, sans angles mort, sans peur et sans pitié.

Mon compagnon était un homme élégant, ses cheveux long et son regard rubis allait étonnement bien avec son corps fin et souple,
il semblait toujours enclin a la plaisanterie et jamais sérieux et pourtant son calme était implacable,
jamais je ne l'ai vue s'énerver, jamais paniquer, toujours stoïque lorsqu'il arrive le pire, toujours souriant malgré les circonstances.

Il était aussi généreux, prêt a aider ceux qui en avait besoin,
protecteur, a défendre au péril de sa non-vie chaque être qu'il en jugeait digne,
courageux, se lançant a corps perdu malgré chaque choses qui pourrait dissuader un autre,
intelligent, capable de penser a toute vitesse et analyser une situation sans que cela ne se trahisse a travers ses actes,

un vampire exceptionnel en somme,
un vampire dont le regard empli de douceur semblait vouloir apporter la paix a ses victimes... bien sur il me dirait "Ferme la avec tes trucs, JE suis PAS un bisounours, d'ailleurs ce clan m'a jamais attiré !!!!" mais au fond je suis sur qu'il aurait été flatter de mes paroles.

Il m'avait longuement parlé d'une bibliothèque aussi,
parler de ses penchants pour Iridia, de son amusement a se mettre sur un pied d'égalité face a Turmac, de son affection particulière pour Evangéline, de ses désirs de tuer Azura, de ses envies de forcé Firunbel a boire du sang...

Lorsqu'il parlait de tout cela son regard semblait brillant, comme si il avais trouvé en ces vampires une lumière perdu dans les ténèbres éternel de la non-vie, certes il les insultaient et se moquait d'eux, mais dans le fond on pouvait ressentir ce qu'il pensait vraiment, a quel point ils étaient précieux pour lui.

On avais déménager sous sa direction, un quartier en zone 3, quartier grand et vide que Bloodlovin avait décider de ne pas améliorer pour ne pas attirer l'attention,
nous habitions l'une des ruines du coin dont l'intérieur avait été rénover par des esclaves humain que j'avais passé sous mon contrôle.

Nous nous installions souvent dos a dos sur un toit, observant le ciel nocturne sans un mot, moment privilégier où nous laissions de côté tout ce qui nous entourait pour se contenter de la profondeur de nos âmes... bien que je me soit toujours demander qu'elle était ces pots qui s'entassait régulièrement en bas et semblait contenir une pâte étrange.

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "ninix" (31.01.2009, 06:26)


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02. 02. 2009, 12:53

Le temps me semblait infini, voir figé, que faisions nous? a quoi pouvions nous bien servir?
Lorsque j'eus posé la question a Bloodlovin il esquissa un sourire étrange avant de me dire qu'il avais déjà trop attendu que je lui demande cela,ensuite il disparut dans l'ombre, me laissant seul, livré a moi même dans un monde d'illusions et de faux semblant.

Je voulait être aimer, je voulait être reconnu, retrouver ce que j'avais perdu .... ce que j'avais perdu? mais qu'avais-je perdu? combien de temps était passé entre ce jour et le premiers de mes souvenirs? j'avais l'impression que ma mémoire brûlait, détruisant la pellicule de mon passé et menaçant de me consumer aussi, comme si je devais courir vers l'avenir pour ne pas être détruit avec mon passé... était-ce un objectif en soit? qu'importe cela le serait devenu avec le temps de toutes manières.

Je me devait de changer la décoration du lieu et pour cela j'avais une bonne idée: fouiller les quartiers des autres, les prendre en embuscade avec quelques mercenaires et me procurer ce dont j'avais besoin.

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04. 02. 2009, 15:01

Après quelques temps mon habitat était bien meublé,
lorsque l'on passait la porte de bois sombre un long couloir se profilait,
plusieurs lustres qui avait été converti en chandelier illuminait les lieux laissant apparaître des murs rougeoyant bordant un sol tapisser de motifs orientaux,
toutes les fenêtres était recouverte de tapisserie qui semblait prendre vie par la lumière solaire donc les éclats n'avait plus rien de nocif.

Plusieurs pièces était vide sauf deux: une chambre et le salon,
dans la chambre se trouvait un lit double datant, paraissait-il de la renaissance italienne, plusieurs tableau d'origine asiatique et le plafond était gravé de sculpture scandinave et le sol de marbre donnait une impression indescriptible du lieu.

Le salon lui était largement orné d'imitation ancienne provenant de culture nommé Inca, Aztec, Maya et Brésilienne,
un fauteuil en cuir était posté face a une cheminée a côté d'une horloge anglaise, je m'y reposait souvent en savourant une coupe d'alcool et observant le spectacle des flammes qui dansait avec grâce en illuminant d'une lumière fébrile et douce les lieux, les rendant plus chaleureux et même vivant.

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08. 03. 2009, 03:42

Ma vie était paisible, voir mollassonne, quand bien même de jeunes vampires plein d'ambitions venaient la police local de mon quartier intervenait ne me laissait que quelques carreaux a tirer,
tout était paisible, peut-être bien trop pour moi, ce qu'il me semblait être calme, illusion que mon propre isolement créait.

Comment aurais-je pu jugé les choses calme alors que ma vision ne se portait pas dessus?
Mon quartier était l'unique univers qui m'entourait, la seule chose qui semblait existé autour de moi, mon unique illusion, a la fois vital et évanescente, l'unique chose qui semblait offrir de la mouvance a une éternité d'errance.

Je me mis bien vite a écrire, tout d'abord des lettres, puis des mots suivit de phrases qui formèrent des paragraphes emplissant des pages nuançant des chapitres du prologue des événements futur,
oui j'écrivais mon existence, ou plutôt mon absence d'existence, le vide de la solitude qui en m'aveuglant me faisait plongé dans l'illusion d'une vie vécu, quand bien même je me tenait de moi même a l'écart de mon être, rejetant le vampirisme, rejetant l'humanité, rejetant les rêves, les espoirs, les ambitions, les envies allant jusque me rejeter moi même.

Je pouvais les entendre, les combats, la guerre mais aussi les nanites, se multipliant dans l'ombre, prenant une place de plus en plus certaine sous la volonté de l'invisible, m'encerclant avec douceur pour brisé mon être comme tant autre l'on été.

Ce fut lors d'une de mes sorties quotidienne, d'un de ces moments où je me libérait des chaines de mes possessions pour observer la cité,
ressentant le poids du soleil se levant et mettant fin au derniers combats,
un moment où tout aurait pu basculé pour moi.

Les rues était déserte, le sang qui les recouvraient était encore chaud, les détonations toujours présente au creux des oreilles des survivants,
la mort levait son voile noir pour laissé apparaitre la désolation, carnage des plus forts qui demain seront terrassé, perpétuel combat dénué de raison, l'instinct peut-être aurait pu nous conduire a cela mais nul doute que les créatures de la nuit ne se serait jamais risqué a cela, l'appel du sang aurait été la seule raison de cette guerre... une guerre pour le sang, LA guerre du sang.

Face a moi se trouvait une créature, pas simplement un mutant, mais un mutant créer par les nanites, cela n'avais rien a voir avec les mutations due aux radiations, eux était plus puissant mais dépourvu de volonté propre et de toute évidence ma mort était décidé.

Des carreaux se fichèrent en lui, puis des balles, et enfin les deux simultanément,
autour de moi mes "gardes du corps" mourrait et peu a peu la bête s'approchait de moi,
une patte levé, prête a s'abattre, prête a tué... une patte qui fut tranché, comme un couperet fatal aurait été brisé au dessus de la tête d'un condamné.

Je restait impassible, immobile alors que la créature battait en retraite et qu'une lame s'appuyait contre ma nuque, mon regard se tourna vers celui de Tengu No Suzaku avant que ma voix ne retentisse.


"nous devrions rentré, le soleil sera bientôt là et j'imagine qu'il y a beaucoup a se dire."

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14

09. 03. 2009, 12:45

Tenzaku, comme il voulait que je l'appelle, restait immobile alors que je lui racontait tout ce qu'il s'était passé, son regard caressa le fourreau de sa lame comme si il tentait de contenir une envie plus forte encore.

Je me sentais mal a l'aise, seul, vulnérable,
je pouvais lire dans son regard le désir de mort, la sienne autant que celle d'autrui, le besoin implacable de sang et de combats qui semblait animé chacun de ses muscles, plus le temps passait et plus il était difficile pour moi de le regardé, au fur et a mesure que le temps passait je me sentais écrasé presque comme si mon âme pliait sous le poids de la sienne, jusqu'à ce qu'il décide d'allé se reposé, s'installant contre un mur, épée en main et yeux fermé,
certes il ne semblait pas paisible mais subitement la tension qui me donnait l'impression que ma peau s'arrachait s'arrêta et je pu contempler les flammes dansante et chaleureuse qui habitait le foyer de la cheminée.

Mon esprit s'égara lentement dans les méandres du passé fuyant le présent et l'avenir sans même que je ne m'en rende compte,
je regardait les images de ma non-vie défilé sans y voir de sens, regardant l'inutilité de chaque instant avec amertume.

Je pouvais me voir sans me regardé, m'entendre sans m'écouter, mais je ne pouvais pas me reconnaitre, comme en présence d'un autre être. Avais-je tant changé? était-je si différent de ce que mes souvenirs me faisait percevoir?
Les réponses ne vinrent pas, mais au fur et a mesure de mon introspection tout semblait s'assombrir, mes pensées se faisait plus difficile, mes souvenirs plus vague, mon corps lourd,
je ressentais presque une étreinte, seul contact que je pouvais désormais percevoir, unique sensation qui animait le vide étouffant et brulant qui semblait vouloir me consumer.

Soudain une douleur me transperça, je pu voir ce qui me semblait être un nano-mutant me regardé en révélant ses canines d'acier, une griffe était enfoncé dans mon torse jeune et plein de vigueur, mon regard était empli de larmes et ma mâchoire serré a s'en brisé,
tout autour des gens hurlait, je pouvais les entendre, si proche, si inquiet,
ma famille, mes amis, me regardant avec impuissance face a cette créature, leurs amour semblait coulé le long de leurs yeux accompagné d'une peur incontrôlable de voir leurs être déchiré par la souffrance de l'abandon.


"-Reste en vie Pierre, survit !!!
-pour nous, reste, je t'en prie ne meurs pas!
-j'ai besoin de toi,
-ne me fait pas sa, je ne te le pardonnerais pas, jamais !!!!
-noooon pourquoi pourquoi tu devrais??
-Arrettttttttte !!!"

Un petit garçon se jeta sur la bête, son corps fut déchiqueter sous mes yeux alors que ma vie s'éteignait, pourquoi avait-il fait sa? pourquoi a t-il réduit ainsi sa vie sans aucune chance de changé quoi que ce soit?

Une voix se fit entendre, celle de Tenzaku.


"Tu te crois vide... ouais c'est possible, t'est surement pas motivé a te battre ni même a vivre, dans ces conditions t'a aucune chance de victoire même face a un gosse... mais tu vois y en a qui souffre, y en a qui meurs, y en a qui on ce que t'a pas... si tu veux pas te battre pour toi, alors fait le pour eux... ok First? Maintenant réveille toi on a pas que sa a foutre."


La douleur disparu, mes pensées revinrent, mes souvenirs aussi, Pierre... pourquoi avait-je vu la fin d'un simple humain?

15

10. 03. 2009, 07:30

Je me réveillais douloureusement, visage appuyé contre le sol cahoteux de ce qui me semblait être a première vu une ancienne plaine qui était marqué par un énorme bâtiment au loin, le sol était rougeâtre et de multiples carcasses semblait avoir remplacé la végétation.
Je secouai ma tête de droite a gauche et observais les lieux avant d'être interpellé par la voix de Bloodlovin.

"
-Allez fainéasse on a pas que sa a foutre, on va se le faire ce golem oui ou non?
-Laisse tombé c'est qu'un faible, un boulet, laissons-le là il nous servira a rien.
-t'a raison je me suis planté sur lui, il vaut rien autant qu'il crève ici comme un humain."

Puis ils me tournèrent le dos et s'en allèrent en direction du bâtiment,
j'étais seul dans un coin déserté, le ciel s'empourprait peu a peu avant qu'une pluie de sang ne se déverse, la faim commençait a me tiraillé et je levait mon visage au ciel avec l'espoir de me nourrir mais les quelques gouttelettes ne changeait rien si ce n'est qu'elle augmentait encore mon appétit.

Peu a peu je m'affaiblissait alors que le ciel laissait sa teinte foncé s'éclaircir, preuve que le soleil se levait.
Je me relevait avec peine avant d'être mis a terre par un coup d'une violence incroyable, a peine sur le dos je pu voir une créature qui me fixait, le soleil commençait a chauffé doucement ma peau et la pluie ne cessait d'attiser ma faim,
instinctivement je mis mes mains là où mes armes devait se trouvé... devait... pourtant ce n'était pas le cas, j'étais désarmé, seul, affamé et mon temps était compté en ce lieu vide d'ombres, je me laissa tombé a genoux, prêt a abandonné ma non-vie.

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11. 03. 2009, 14:02

La bête me parla avec une voix étrangement féminine.

"Alors mon mignon, tu t'offre a moi? très bien unissons nous, notre progéniture sera forte et vaillante, viens chéri viens."

Je pu ressentir le contact de sa chair particulièrement dur sur moi, alors qu'elle unissait son corps au mien, après de longs instants je fini par m'écrouler avant qu'elle ne laisse des oeufs autour de moi et s'en aille en laissant dans l'air une phrase qui me fit bouillir le sang.

"Allez papa il va être l'heure de donné a mangé a nos enfants."

a ce même instant les oeufs se craquelèrent libérant ainsi leurs contenu, des sorte d'arachnoïde aux longues canines qui commençaient a me lacéré en absorbant mon sang et ma chair alors que ma voix s'éteignait absorber par le silence de ce matin sanglant.

Mes cris retentirent de plus en plus fort, j'étais vouté sur moi-même en ressentant mes os et muscles se déchiré,
mes griffes transperçait mes doigts et mon crane se déformait, tout autour de moi une cage argenté luisait d'une lumière menaçante alors qu'un dernier hurlement bestial s'échappa de ma gorge.

Un homme arriva avec un regard satisfait et un fusil dans la main, je réussi a percevoir sa voix alors que mon envie de le dévoré brouillait mon esprit.


"Voila un beau spécimen, un sacré lycanthrope dites moi, mmmm qu'allons nous faire de toi monstre? hein??? on va te saigner sale bête, on va t'écorcher et te faire bouffer tes organes encore vif, tu va regretté, tu va regretté d'exister et même regretté tes facultés, je te le jure même un maudit comme toi suppliera dieu."

La rage me fit sortir de mes gonds, la cage se brisa et je me jetait sur l'homme que je pu déchiqueter sans peine,
mais il me fut impossible de me repaitre, un son, une sensation... plusieurs hommes venait dans ma direction et je devais réagir,
je bondit hors de la pièce et me jeta sur le groupes dévorant et déchiquetant tout ceux dont le coeur battait.

Une détonation assourdissante me fit sortir de ma transe, une balle fine et argenté avait transpercer mon corps avant de se bloqué dans mon coeur, un petit choc me fit me mouvoir une ultime fois, la balle venait d'éclater en me déchiquetant en partie de l'intérieur avant que mon regard ne se pose sur les femmes et enfants que je venait de massacré.

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17

13. 03. 2009, 09:53

On m'adossa a une chose que je pouvais sentir solide et rectangulaire,
ma poitrine se soulevait quasiment avec frénésie et autour de moi la foule se rassemblait,
on me lia les membres et le front afin que mon visage soit perceptible a chaque instants par les cruels spectateurs,
femmes, enfants, paysans et noble semblait être réuni pour l'occasion,
après m'avoir lier un homme glissa une lame de ma gorge a mon nombril dévoilant par la suite mon physique avant de graver différent symboles a même ma chair.

Des prières en latin se firent entendre, suivit d'un conte décrivant la mise a bas de l'amante du diable et son renvoie en enfer par les flammes même dont elle était issu,
après cette cérémonie solennelle tous se mirent a dansé alors qu'une musique festive commençait,
tous s'amusait et riait de bon coeur alors que l'aube venait peu a peu éclaircir les cieux et chasser les étoiles.

Lorsque finalement le soleil fut a son zénith, au dessus de moi, la fête s'arrêta,
tous se remirent en place et des hommes en robes de bure surplombé d'armures se mirent en cercle tout autour, une épée dans une main, une torche dans l'autre.

Les lames me traversèrent brusquement avant que les torches ne soit déposé sur le buché,
les flammes s'étendirent dans un crépitement furieux sous les acclamations de la foule et mes hurlements de peurs et douleurs mêlé,
jusqu'à ce que les flammes en viennent a atteindre ma peau qui se couvrait peu a peu de sang.

Je pouvais sentir le sang caresser ma peau et s'étendre sans cesse me recouvrant avec douceur,
immobile, aucun de mes muscles ne semblait vouloir se mouvoir, j'étais comme paralysé.

Autour de moi une lueur rougeâtre éclairait les murs de marbres, le sang qui coulait doucement dans la cavité qui me servait de lieu de repos venait peu a peu se logé dans ma bouche et mon nez,
je me noyait au fur et a mesure qu'il s'écoulait, ressentant la brulure de l'épais liquide emplir mes poumons, là un mage de sang fit son apparition,
le sang se stoppa alors que la cavité était pleine a raz-bord.


"Cercueil de sang scelle le mal,
scelle le maudit,
pour ce jour et toutes les nuits puisse la bête voir sa gourmandise et son péché la condamner pour l'éternité qu'elle a volé."


Je pu sentir le sang coagulé en moi, séché dans mes organes avant de créer un bloc compact et solide dans tout mon corps,
quelques instant après ce fut le sang a l'extérieur de moi qui en fit de même me laissant conscient et en vie, obliger de regardé l'éternité au travers d'une paroi rouge a l'odeur plus l'alléchante.

Puis soudain tout se brisa, j'ouvris les yeux et contemplais le visage de Tenzaku qui me regardait mollement.


"Alors comme sa t'a pas pris de repas, tu sort et te ballade mais tu bouffe pas? franchement je vois pas comment tu pourrais être si minable, enfaite tu devrais même être mort."

Sa main se posa sur son épée donc le pommeau brilla un instant, mon arbalète chargé se ficha dedans alors que l'illusion s'éstompait,
une petite créature me regardait avec des yeux fiévreux.

"
-Co-co-co-co mm mm mm m m ment a-t-t-t-tu?
COMMENT A-TU????

-Simple,
une illusion est implanté dans l'esprit, pas dans les sens,
ainsi pour être vraiment efficace il faut affaiblir l'esprit puis libéré celui-ci un peu afin que les sensations augmente le trouble de la victime,
ainsi l'âme affaibli se retrouve dans un monde similaire a celui dans lequel se trouve son corps et il est pratiquement impossible pour elle de sortir de l'illusion,
au final elle se retrouve a agir sur le monde réel en étant dicté par l'illusion, cela permet de la faire se battre contre un allié, se suicider ou tout simplement la déstabiliser le temps de porter un coup généralement mortel.

Quand tu brouillait mon esprit je ne pouvais pas te trouver et si j'avais brisé l'illusion tu aurait réagit contre moi par réflexe sans que je ne connaisse tes capacités et a peine sortit de l'illusion,
j'ai donc attendu que tu me libère vers la réalité afin de pouvoir agir,
dans cet état l'illusionniste peux être perçu a travers l'illusion, toi tu était le pommeau de l'épée, ainsi lorsque j'ai frappé le pommeau je t'ai touché... tu vois c'est facile pour un capteur d'esprit de frappé un illusionniste sans brisé l'illusion, dans une autre vie essai de t'en rappelé."


La créature laissa sa vie s'échapper alors que je me relevais et lançais le carreau sur laquelle elle était empalé vers le mur,
cela étant je me tourna en direction de Tenzaku.

"Très bien je vous aiderais, j'ai pas envie que des choses comme sa refasse la décoration de ma résidence."

Tenzaku esquissa un sourire et la porte s'ouvrit sans douceur a ma droite.

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18

18. 03. 2009, 16:32

"Alors on fait quoi?"

La voix de Bloodlovin résonna comme un furieux tremblement de terre, je me sentais écrasé, comme si on empoignait mon âme et la compressais avec force sans brutalité,
torture qui ne cessait de me coupé le souffle, m'approchant de la fin et m'éloignant d'un quelconque espoir,
chaque seconde semblait duré des minutes, chaque minutes semblait être celle de ma mort, mon souffle coupé, coeur immobile, regard éteint, espoirs brisé.

face a moi se trouvait deux pierre, brillante et luisante, d'une couleur grenat qui étrangement me maintint paralysé, pris d'une indicible terreur.


"On va appelé un ami."

La réplique qui se fit entendre me surprit comme jamais, face a cet homme si étrange et puissant je pu entendre une voix décontracté.

"-Ah? parce que t'a des amis toi maintenant?
-ouais le démon sanglant, en tout cas sa réputation et ses souvenirs."

La pression se relâcha ensuite et je pu voir les deux grenat se teinter au couleurs du rubis, cette sensation n'était qu'une illusion? ou une peur réel?
Enfin...de toute évidence nous avions un plan, mais jamais je n'eut pareil pressentiment.


"-On y va donc?
-ouais, direction la zone 1... le coeur des ténèbres mais d'abord on passe par les champs de couvoirs."

C'est ainsi que nous nous dirigions vers notre première expédition dans ce champs de bataille réputé,
beaucoup de légende circulait en ce lieu et j'allais pouvoir les vérifié de mes propres yeux.

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "ninix" (19.03.2009, 17:19)


19

19. 03. 2009, 17:43

Nous étions donc en route,
la ville était déserte et aucun son ne perçait le pesant silence,
la nuit semblait avoir supprimé chaque opposants au calme qu'elle tentait d'imposé comme au temps des Hommes.

Il était encore facile de ressentir la violence des combats et la guerre faire rage, pourtant...
malgré cela la cité était vide, tout était calme et immobile,
la guerre qui était si présente semblait avoir pris fin, les combats et l'attrait du sang aurait quitté les vampires pour les mené a la paix?

Je continuait donc a suivre ses ruelles grise et morose immaculé de sang dont l'age était évident,
la ville me regardait la traversé, seule ombre vivante dans le paysage issu d'un tableau d'art contemporain.

Peu a peu les choses changèrent, les bâtiments se firent plus nombreux et des vampires regardait le temps passé a travers leurs yeux vide,
ils était vieux mais inexpérimenté, observant les lieux sans un geste, sans un bruit, piégé par une inactivité grandissante, transformant peu a peu leurs êtres en statue de chair et de sang figé dans l'absence de vie d'une éternité bien trop longue.

Soudain tout se mis a bougé, des détonations se firent entendre, nombreuses, ardentes, violente,
le sang coulait peu a peu, glissant mollement sous mes pieds alors que j'avançais d'un pas affirmer vers les lieux du combat.

Quand je fut arrivé quelques mètres plus loin le spectacle était d'ors et déjà désolant,
une grande tour blanche se dressait dans un lieu envahi de flammes et de sang, les vampires se précipitait comme des soldats humain en pleine guerre,
beaucoup tombait sous les coups des créatures noir et volante,
d'autres se jetait corps et âmes sur les dragons blanc, les menant au trépas après de long combats,
et plus loin une véritable horreur regardait les différentes scènes,
un dragon au regards multiples, un dragon dont les différentes têtes observait de façon cruelle les batailles et morts.

Tenzaku et Bloodlovin me passèrent devant.


"Hey tu pourrais arrêté de nous devancé en regardant dans tout les sens? bon ok t'a trouvé où on devait allé mais c'est pas une raison !"

Tenzaku lui se dirigea vers l'hydre d'un pas empli d'assurance.

"Ok il nous reste que du menu fretin, on va réglé sa en quatre sec !!"

Tout trois nous jetèrent en direction de l'immense bête, qui en un instant paru être la mort elle même venu moissonné nos âme du revers de ses crocs sans cesse claquant du bonheur de la bataille.

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20

02. 04. 2009, 18:01

Tenzaku se jeta dans la bataille et seule sa lame le sépara de la dentition d'une des tête, alors qu'une autre s'attaquait déjà a l'un de ses flancs se fut son autre lame qui le sauva, puis part sa simple force il se dégagea de l'étreinte mortel de la créature avant de lui faire face de tout son être,

pendant ce temps Bloodlovin sautais en tout sens et effectuais cabriole sur cabriole avec grâce et élégance ne laissant paraitre que détonation et flash lumineux suivit de gerbes de sang et cri de douleurs,

quand a moi je me tenais a distance, variant rafales de AK et carreaux d'arbalète en soutien a mes compères,

Tenzaku n'eus aucun mal a tranché l'une des tête avant de profondément planté l'une de ses lames dans la créature, lorsque le moignon laissa apparaitre deux têtes le ronin rouge s'éloigna en hâte,

Bloodlovin me demanda de retenir la bête pendant que Tenzaku la tranchait, lui s'occuperait de coagulé le sang de ses blessures pour empêcher sa résurrection,
la technique faisait effet a merveilles et ce fut avec une tête d'hydre que nous revîmes aux frontières de la zone 1... l'échauffement était fini et désormais tout restait a faire.

Ainsi la déchéance face au ténèbres vint, là où un chapitre se termine dans le livre de l'immensité éternel.

21

11. 05. 2009, 04:38

Nous venions de traverser la zone 2, presque vide, en fait le cercle intérieur comme il fut nommé était presque vide, a partir de la zone 3 tout se mit a changer et les combats se firent plus difficile, la zone 2, elle, était presque vide... et la zone 1...

La zone 1 brillait de milles feux, comme un joyau nocturne, des bâtiments immense parsemaient les lieux en une haie d'honneur macabre,
nous nous sentîmes mené vers un lieu sombre, et plusieurs garnisons tentèrent de nous stopper mais mes facultés leurs firent changer d'avis, au lieu de cela ils nous conduisirent a travers le quartier géant afin de rejoindre "le maitre".

Lorsque nous fîmes face a l'imposante silhouette rien ne laissait présager ce que nous verrions,
il se retourna, son visage déformé et ses yeux brillant perçant la nuit... et nos âmes.

Les soldats s'enfuirent, échappant entièrement a mon contrôle,
Tenzaku se jeta sur le vampire avant d'être repoussé, blessé et meurtri par une force invisible semblable a du vent,
Bloodlovin tira par rafales, bondissant avec rapidité et ne laissant pas une secondes de répit a ses armes.

Le vampire, lui, esquivait sans peines les projectiles comme si ils n'étaient pas plus rapide que des poings humains, se jouant de bloodlovin avant de se saisir d'un lance-flamme. L'être embrasa rapidement les balles puis les armes de Bloodlovin et enfin ses bras avant de lui porté un violent coup au visage qui avait lui aussi en partie brulé.

Tous trois étions pris de court, tous trois étions impuissant,
nous décidâmes ainsi d'unir notre vrai puissance,
Tenzaku libéra les forces de la bête,
Bloodlovin absorba l'énergie des résidus démoniaque en lui,
quand a moi je m'armait de mon AK et de mon arbalète.

Le vampire s'adressa a nous:


"Bien la bonne nuit mes chère enfants,
je suis
Za`gar, premier de tous, premier des déchus.

Vous aussi êtes comme moi, plus que des vampires vous êtes destinés à devenir plus encore, vous deviendrez des déchus, si vous acceptez le pouvoir du sang.
Contemplez mon pouvoirs, ces merveilles, tout ce que le plus fort d'entre vous, vous tous, obtiendra en réussissant à me vaincre.

Mon histoire est ancienne, et je suis le maitre des nanites, maitre de la cité et de toutes les cités, premier des déchus, maitre des ténèbres et vampire le plus puissant...
Mais tout cela n'a aucune importance mes enfants, disparaissez et revenez moi plus puissants, revenez moi et mourrez, je vous attends en tant que déchus....ne me décevez plus."


Un puissant souffle nous blessa avant de nous envoyez peu à peu au loin, avant de nous envoyez à la mort, nos corps déchirés et nos âmes rejetés aux forges.Ainsi l'illusion se brisa, dévoilant notre faiblesse et notre impuissance, nous qui avions présumés de nos forces et avions défier le diable,
le destin seul pouvait décider mais en ce moment la réalité éclatait, nous n'étions rien, et ne serions rien en ce monde corrompu par le vrai mal.

Tous vivent dans l'illusion, se pensant puissant, affrontant des créatures et s'entretuant, mais si ils avaient idée, si ils avaient vu ce que nous avions vu...
Parfois l'illusion n'est autre que la seule façon de gardé espoir... L'espoir... Désormais ils ne nous en restait plus et ainsi nous allions disparaitre.

Ainsi notre chapitre de l'histoire brula dans les flammes des forges, alors que les insouciants continuait leurs vaines batailles et abreuvait leurs soif de puissance, tôt ou tard les crédules périraient... le temps était déjà joué.

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