PARTIE I : Souvenir Pluvieux
Une tour de verre au dernier étage.
Le temps était pluvieux, le ciel gris crachant sa foudre tel une colère divine pour déversé sa pluie. Les gouttes de celle-ci s’entrechoquèrent sur les vitres de cette tour érigé telle Babel la grande dans cette mégalopole.Derrière cette vitre un jeune homme au visage assombrit regarde ce spectacle tel un dieu contemplant les vicissitudes de la vie sur la ville. Les bras croisé au niveau du torse, habillé en tenu classe il ce remémore de sa journée passé, un verre de cognac trônait sur son bureau spacieux à coté d’un pistolet, celui là même dot il c’est servit contre cette homme d’affaire qui lui avait rendu visite pour lui proposé une négociation.
La discutions avait commencé calmement ; le jeune homme offrant à son invité un verre de cognac dont il ce servit également de ce breuvage. Le convive était décontracté, ce sentant en sécurité et en position de force pour négocier il commençait son spectacle telle Alexandre le Grand marchant triomphalement sur l’Empire byzantin, il continue de prendre ses airs de roi tandis que son interlocuteur assis en face de lui été calme, un peu trop calme lançant un regard neutre tout en commençant à boire une gorgée de son verre comme si les événements qui ce passaient ne le préoccupait guère.
Il repose son verre doucement comme s’il déposait une bille de cristal quand il propose a son invité de le suivre au balcon, prétextant que la vue de la ville permettrait de calmé les esprits échauffé et d’une meilleur analyse de la situation, l’invité acceptant l’invitation il ne comprenait même pas qu’il venait de pénétré dans une cage dont il s’en sortira jamais.
Calmement ils ce dirigent sur le balcon, l’air était froid mais la vue offerte attisait l’appetit et l’innatention de la proie. Le prédateur était derriere lui, déguisé sous les trait du vaincu depuis le début il continuait de parlé pour endormir encore plus la mefiance de la victime. Sortant de sa hanche un automatique il pose le canon de celui-ci derriere la téte du futur condamné a mort quand il lui murmure quelques chose a son oreille avant de tiré.
Une détonation, une douille en sort de l’arme quand la victime plonge devant, lâchant le verre qui ce brisait sur le sol, les yeux devenant terne avant de plongé hors du balcon ou son corps était cette fois ci le jouet de la gravité. Le corps chutait inlassablement jusqu'à rencontré le bitume pendant que le jeune homme continue de regardé ce spectacle ou une fois fini il rentre dans son bureau calmement, déposant son arme sur le bureau. Un éclair avait tonné au méme moment pour commencé a déposé ses gouttelettes de pluie, le jeune homme ce dirige vers la fenêtre pour contemplé ce spectacle de la nature qui devenait de plus en plus grondante.
Il ce remémore au bout de quelque minute un doux souvenir ; celui d’une jeune femme qu’il avait rencontré. Il avait rencontré lors d’une soirée mondaine une jeune femme, elle avait 20 ans ; d’une taille modeste elle avait des courbe qui lui donnait l’air d’une petite fille fragile mais sa robe noir lui donnait des airs de belle demoiselle. Les cheveux court de couleur auburn faisaient ressortir ses yeux de couleur clair et son regard qui ressemblait a celui d’un chat.
Tomber sous le charme de cette jeune demoiselle il ce rapprochait d’elle ; d’abord timidement il prit son mal en main pour ce prendre plus d’assurance. Lui offrant d’abord un verre de champagne elle fut intimidée par ce geste quand ce bel homme la courtisait. La soirée continuait ou ils firent de plus en plus connaissance quand elle donne à ce jeune roméo son prenom … Nalia. Il trouva ce prénom magnifique quand à son tour il donne à cette douce juliette le sien, Shenlong.
Elle fut étonné de ce prénom non pas a cause de la signification précise mais a cause de l’origine asiatique alors que le jeune homme été de type européen mais elle trouvait cela exotique. La soirée ce termine, tel un gentleman il raccompagne Nalia chez elle ou elle ouvrit la porte pour lui proposé de boire un dernier verre avant qu’il part.
Il accepte l’invitation, la jeune femme le laissant entrer, elle le dirige jusqu’au salon ou elle débouche une bouteille de vodka ou elle sert 2 verre.Il accepte ce verre et trinque en buvant d’un trait le verre pour ensuite lui parlé et mieux la connaître. De fil en aiguille de la soirée les 2 jeunes gens ce plut pour finir par ce rapprocher et s’embrassé.
L’air été chaud a l’intérieur, il dépose de tendre baisée sensuel a Nalia tandis que celle-ci avec douceur ôte la chemise de Shenlong. La suite ce terminait dans le lit de Nalia ou les passions sensuel ce mélangeaient entre les 2 tourtereaux. Ils ce revoyèrent souvent ou Nalia avait fini par habiter dans la tour de verre qui servait de bureau et de maison a Shenlong.
1 Ans passa ou Nalia malgré le bonheur qu’elle vivait avec son tendre amour voyait qu’il cachait un mystère ; un soir elle insista auprès de son autre moitié dans un restaurant ou elle avait réservé cette salle rien que pour eux 2, histoire qu’elle sache la vérité quand Shenlong sort son flingue et le dépose sur la table en la regardant droit dans les yeux pour lui dire la vérité sur lui et ce qu’il cachait. Nalia fut abasourdie par cette révélation ; elle réfléchissait a tout cela, elle opta pour resté avec son amour car elle acceptait que même si sa vie été teinté de sombre il voulait pour elle qu’elle ait un avenir doré et de blanc.
Leur relation dura 2 ans en tout quand la Famille de celle ci décidèrent de partir emménagé en Europe ou le père avait des affaires importante. Elle vint chez Shenlong le soir et lui annonce la nouvelle. Abasourdie celui-ci envisageait toute les solutions possible pour la gardé mais elle ne voulait pas car ses parent n’accepteraient jamais qu’elle reste au coté de Shenlong. Comme pour dire adieu a son aimé elle dépose un dernier baisé a son tendre cour en versant une larme avant de lui dire « je t’aimerais toujours » pour ce levé et partir.
Shenlong versait une larme en repensant a ce soir là ; son cœur était meurtri ; il sort sur le balcon , la pluie tombant le trempait , l’air froid ne préoccupait guère cette homme qui commençait a pleuré pour finir par poussé un cri au ciel , dans ce cri il nommait une personne, celle qu’il a aimé : Nalia