Ce RP se passe dans une boite (haut lieu de relation sociale) et est essentiellement basé sur les rapports sociaux entre les persos. Pas de grande prétention scénaristiques donc, mais une envie de creuser la dimension psychologique des personnages (poil aux..). J'attire donc votre attention sur quelques points:
- Pensez à définir les "contours psychologiques" de votre perso avant de vous lancer. Les fiches "descriptions des persos" de Turmac sont trés pratiques pour ca.
- L'ambiance à ici un role important : gardez toujours à l'esprit que votre perso est un vampire dans un monde post-apocalyptique.
- Ca reste un Rp pour le fun sans de prise de tête.
- Le RP est ouvert à tous.
Bon role playing à tous
PS: J'ai mis Stup en scène (cf la description des persos) et non le Baron.
EDIT: Option facultative: Puisqu'on est dans un night club je propose une petite expérience:
Dans chaque post le rpiste pourra glisser un titre diffuser par le Dj au moment de la scène. Là aussi deux trois précisions:
- C'est juste histoire de s'amuser à tracer collectivement (jaurai pu en faire une que personne n'aurai écouter, tout seul dans mon coin) la setlist du Dj de l'Ambroise et de mettre un peu de "pep's".
- C'est complèment facultatif.
- Mais si vous y participez (et là je me repète), gardez à l'esprit que vous êtes dans BW. Vous êtes peut être fan de Férré, de dub roots ou de Miles Davis mais ca colle pas forcement à l'ambiance post apocalyptique d'une boite de nuit vampire dans un univers post apocalyptique. Je vous fait confiance pour jouer le jeu et dénicher des trucs qui vont "grave le faire"
- un seul titre par post. (Pour trouver des liens de titres pensez a des site comme Deezer, pour ne citer que le plus connu)
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L'Ambroise. La plus grosse boite de tout Ultima Thule, réservé seulement aux vampires. 400 m2 de néons, de bruit et d'excès. Accoudé au comptoir entre deux capteurs d'esprit entièrement vêtus de blanc, j'ai réussi à obtenir une "pinte des fous" que je vide à moitié d'une gorgée.
L'énorme Cultiste à l'entrée m'a laissé passer malgré le blouson crade, le masque en cuir cousu sur la gueule et mon manque flagrant d'entrain à la communication entre frères vampires. De toute façon même la Commission Du Chaos, une secte de vampires qui vivent dans les égouts et se traces des symboles kabbalistiques sur tout le corps avec le sang de leur ennemi, arrive à rentrer malgré l'odeur de cadavre qu'ils dégagent. Et si ils commencent à filtrer au faciès, les trois quarts de la population sera recalée d'entrée. Le vampire est exentrique par nature. Tout ce que cette citée maudite compte comme suceur de sang peut rentrer sans trop de problème, la seule condition est de respecter la règle du jeu: on dépose ses armes à l'entrée & pas de scandale à l'intérieur. C'est écrit nulle part mais les légendes urbaines qui tournent sur le dernier groupe de jeunes vampires un peu trop sûr d'eux qui a essayé de faire rentrer des lames dans les murs de la boite, sont inscrites dans le crâne de n’importe quel vampire qui fréquente autre chose que les rats de son immeuble.
Je me retourne et m'appuie dos au bar. Le Dj, un Absorbeur avec trois énormes piercings dans la lèvre du bas, balance, du haut de son énorme estrade, des
vieux hits du siècle précédent rythmés par des flashde lumières blanches qui éclairent la foule. La lumière met en valeur les épidermes des danseurs. Pendues au plafond, une dizaine de cages en fer forgées renferment des humain(e)s défoncé(e)s aux cachetons qui, emporté(e)s dans leur trip, ne se rendent plus du tout compte de l'endroit où ils sont et se lancent dans des danses lascives. La tradition veut qu'au dernier rayon de soleil couché, les cages s'ouvrent par le bas. Plus haut, à demi dans la pénombre, une longue silhouette fine, appuyé au balcon VIP avec trois ou quatre créatures en cuir à ses pieds, scrute la fosse. Elle est seulement habillée d'une grande robe de chambre pourpre et d'une petite fumée bleue qui s'échappe entre ses lèvres. Je décide d'embarquer mon breuvage, de me frayer un chemin jusqu'à une des tables d'angle et m'enfonce dans un énorme canapé blanc. La musique redouble de puissance en même temps qu'un groupe de vampirette s'installe sur le canapé voisin. L'une d'elle passe son regard par dessus l'épaule de sa copine en sirotant sur sa paille. P#####, si elle continue à me regarder comme ça, je lui enfonce sa jolie mâchoire dans la table. Je lache un long soupir entre mes narines.
"Calme toi lapin, t'es dans un endroit "civilisé"."