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1

17. 02. 2008, 00:41

Outrepensée amoureuse(très très expérimental)

(Je comprendrais d'ailleurs que vous n'aimiez pas...)

Couleurs cachées,
Tissus déchirés,
Masquer la vérité?
Ténébreuse pensée...

Querelles intestines,
Mal au bide entre les lignes,
Souffrance cristalline,
Trouver l'héroïne...

Opium du peuple,
Baise à l'oeil,
Synopsis du misanthrope,
Rions de tous ces deuils...

Arme à gauche,
Passes la féraille,
Salope, gueule moche,
Dans mes entrailles...

Besoin d'un clash,
Tu me lâches,
Je te lâche,
On s'arrache?

Surprise aux prises
en harmonie
avec ta crise...
Ras l'bol infini.

Cours loin!
Ben... T'en vas pas...
Reviens!
Attends-moi!

Pas d'accord
Tu me mords
Qu'èsse tu fais?
Tu te tais...

Relâches,
Ca fait mal!
Et ça tâche!
Trop banal...

Salis-moi!
Attache-moi!
Crame-moi la gueule!
Puis laisse-moi tout seul...

Ouais c'est ça,
Aime-moi...
Quoi qu'il advienne, nous sommes seuls, et il n'éxiste rien hormis la désolation sombre et glacée de l'éternité.

J'étais un vampire qui venait de naître, pleurant sur la triste beauté de la nuit.

Ce message a été modifié 4 fois, dernière modification par "myrrdin" (17.02.2008, 21:39)


2

17. 02. 2008, 11:12

Wow, achtement spécial comme texte. J'aime bien pour la violence utilisée pour arriver à dire je t'aime en fin de compte, par contre ça fait trés haché... le fil de l'histoire (si histoire il y a) semble être coupé et partir dans tous les sens... enfin ce n'est que l'impression que j'en ai. Enfin bel effort quand même (tu vois ? même quand tu te chies de façon magistrale j'arrive à te faire des compliments :evil: )
Gardes tes amis prés de toi et tes ennemis encore plus prés...

3

17. 02. 2008, 12:53

j'ai simplement tenter demettre des mots simples, des onomatopées, des expressions brutes bout à bout, pour montrer les souffrances, les difficultés, la schizophrénie, qu'on peut ressentir dans l'amour... aimer à crever, aimer à plus penser...

fin voilà, meme quand je me chies magistralement, j'essaie tant bien que mal d'y mettre du sens. (comme ca peut etre que quelqu'un trouvera la ptite pépite pas machée dans la merde :D )
Quoi qu'il advienne, nous sommes seuls, et il n'éxiste rien hormis la désolation sombre et glacée de l'éternité.

J'étais un vampire qui venait de naître, pleurant sur la triste beauté de la nuit.

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "myrrdin" (17.02.2008, 14:07)


4

17. 02. 2008, 18:35

Hum... je trouve personnellement que la violence ne rime pas avec l'amour, et qu'elle en gache la beauté ;) au bout d'un certain quota d'effort pour trouver du sens sans succés je conclue habituellement que l'auteur lui même n'en a pas mis, c'est effectivement le cas ici :D Pour être justement "violent" avec cet essai: c'est assez décevant à mon goût. On dirait que tu avais simplement envie de te défouler... si ce n'est pas l'effet choisi, pourquoi ne pas veiller à y mettre davantage de douceur? ton poeme semble vouloir détailler tous les types de façon d'aimer, la douceur est un phare dans l'amour il me semble et non un simple "préliminaire avant de baiser", pour te répondre en suivant ton style ^^
Disons un bon point pour la simplicité et facilité de lecture, et un autre pour les rimes et l'effort :) Enfin, une image pour l'originalité.

PS: l'impératif pour les verbes en -ER à la deuxième personne du singulier ne prend pas de "s" (par exemple: aime-moi et non aimeS moi) :thumbsup:
Pseudo: Attila
ID: 7669

5

17. 02. 2008, 21:35

merci attila pour tes lumieres ^^

Ton avis avisé m'interesse grandement, et je corrige dors et déja cette faute... :thumbsup:

en revanche, je tiens grandement à défendre ma croute de pain, même digérée!

En effet, je ne consentais à mettre aucune douceur dans ce poeme parlant d'amour, simplement parceque l'amour n'est pas toujours doux... si tu veux de la douceur amoureuse "souffle damné" t'en donnera ton saoul ^^, ainsi que chacun des poemes de notre Inconnue nationale :love: qui sont emplis de vives douleurs exprimées avec douceur.

Pour le reste j'avais ici besoin en effet de me défouler, et de cracher ma haine de l'amour douloureux a la face de ce nain en couche qui vole au gré d'un vent mauvais... Enfin, j'ai figuré la cruauté de l'amour par des douleurs et violences physiques, c'est réducteur certes, mais voulu... Il a été dégueulasse avec moi, alors laisse-moi être dégeulasse avec lui ^^. La douleur à un sens, les références privées sont des références, c'est une douleur crue qui a été ressentie, je l'exprime cruement...

Bien à toi
Quoi qu'il advienne, nous sommes seuls, et il n'éxiste rien hormis la désolation sombre et glacée de l'éternité.

J'étais un vampire qui venait de naître, pleurant sur la triste beauté de la nuit.

Ce message a été modifié 2 fois, dernière modification par "myrrdin" (18.02.2008, 23:51)


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