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I-Ma Naissance...



Dans cette ville pourrie où ne règne que noirceur, vices, luxure, meurtres et dépravations.

Dans une ruelle, là un corps inerte, allongé la tête la première dans une flaque d'eau croupie .
Cette ruelle sombre, inhospitalière , la crasse suintait sur les pavés irréguliers;
sur
les murs sale, un mélange de sang, de pollutions et de déchets
alimentaire en émanait une odeur omniprésente, oppressantes des relents
de poissons pourris qui aurait donner des haut-le-cœur à n'importe qui,
là où je suis née ... pour la deuxième fois mais désormais j'étais
mort, un mort-vivant pour être exact et celà n'avais plus d'importance.


En
revenant plus tard, par nostalgie, j'appris qu'un restaurant donnait
directement sur la ruelle depuis ça cuisine, désormais il m'appartient
et j'y vais régulièrement "déjeuner".


Une fois mon visage
extrait de cette flaque poisseuse la peur s'emparât de moi, mais ce
n'était pas une peur irrationnel comme j'aurais put ressentir avant,
non cette poussé d'adrénaline était de la rage... incontrôlable, animal
et cette soif inconnu qui me rongeait les entrailles...

je
titubât jusqu'à la rue principal et la ruelle ne me paraissait plus
aussi dégoutante, cette même crasse au sol, ces même mur sales seul
l'odeur était différente, la sueur, la peur, le SANG plus présent, plus fort... et cette pluie qui me fouetté le visage.

Et
là par instinct j'attrappas le premiers homme qui venait de passer à ma
portée et lui sautât à la gorge où je mis désaltérât jusqu'à ce que son
cœur s'arrête j'y aspirât jusque son âme, horrifié de ce que je venais
de faire je ressentit ce plaisir connu de nous seul, ceux de ma race,
mais à cette époque j'étais ignorant de tous cela et je me faisait peur
à moi même luttant contre mon corps pour arrêter ce meurtre mais tels
un spectateur impuissant je ne put qu'observer.

Personne
n'était effrayé ou ne couraient en tous sens pour me fuir, les passants
ne faisaient que m'éviter, il y eu bien dés hoquets de surprise et
quelques cris étouffés mais personne ne semblât choqué .

Lorsque
je lâchât mon étreinte l'homme s'écroulât tels une marionnette
désarticulé et je poussa un cri, j'étais plus fort, plus sûr, plus
rapide ce sang chaud qui coulait dans mes veines m'avais rendu mes
instincts de prédateur....