Ceci n'est qu'un premier jet écrit à deux heures du mat' par un gars fatigué qui pensait à la guerre que se mènent certains membres des PFH/ArP sur le serveur 1
Ils rêvent.
Regardez-les, piégés dans leur propre onirie. Ne sont-ils pas risibles ? A ce point dévorés, écartelés, au cœur de leurs propres contradiction. Ne pouvons-nous nous moquer finalement, de cette hérésie où ils s’enferment peu à peu ?
Leurs pensées en binaires s’enferment dans des codes hexadécimaux, leurs conflits fictionnels les dépasse, les dévore, au final les laisse exsangue, annihilé. J’en rit, parfois. Je le déplore, peut-être. Sont-ils fous à ce point de ne pouvoir distinguer le vrai du reste ?
Qu’en restera-t-il ? Ces loups enténébrés, chassant des priorités illusoires. Les rapports alphanumériques les absorbent, captent leurs esprits. Culte d’un monde peu à peu illusoire, ils sont des rois de bêtes féroces cachées au travers d’eux-mêmes. Se rendent-ils compte ?
J’imagine sans raison. Je les voit, le teint terne, blafard, devant leurs écrans impersonnels. Des machines, esclaves, à la merci sans aucun doute. Il suffirait pourtant d’une simple erreur, d’un chamboulement…
En cas de panne dans ce système qui leur devient vital, en perdraient-ils leurs vies ?
Sont-ils stupides ?
Humains, et non ombres de la nuit. Condition éphémère, ils cherchent l’immortalité. La réalité les terrifie, refuge bienveillant du réseau tentaculaire. L’araignée les piège et les conditionne, les formate. Grandiose peut-être, ou minable, je n’en sait trop rien.
Ils se font la guerre pour des lignes de codes !
Rien n’existe ici bas, calculs matriciels, nourriciers, boire au goulot de ce sein infâme, une putrescence délétère qui vous brûle chaque jours. Allez-y, déchus de vous-même, que la furie vous hante ! Déchirez-vous, entretuez-vous, qui que vous soyez ! Quel que soit l’importance que vous donneriez à vos existences, au point d’en oblitérer ce que vous êtes.
De ce fléaux qui vous hante, je ferais une parodie.
Maladie au goût d’absinthe, ouvertement de vous je rit !
Car vous fantasmez sur la mort, en feriez presque une élégie !
Votre haine pourrissante s’accorde à vous manipuler, marionnette aseptisées, prendre conscience ne vous est pas accordé, êtes-vous donc des enfants que l’on devrait guider ?
Je ne crois en aucun dieu qui vous aurait donné ce don des ombres. Nul besoin de vous tendre vos pièges, vous créez une fosse et marchez dedans. Je rit et me moque, me répète peut-être, mais à raison. Car raison je suis un des rares à posséder, là où vous n’avez qu’erreur et folie.
De quoi avez-vous donc peur ?
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In english, by Xezbeth, Thanks very much !
They dream.
Look at them, locked in their own *dream. Don't they look stupid? They're eaten, thorned by their own contradictions. Can't you laugh of this heresy, that close their mind slowly, just because of them?
Their binary thoughts locked in hexa-decimal codes, their imaginary wars overtake theirselves, eat them, and finaly let them empty, destroyed. I laugh of this, sometimes. It's, maybe, pitiful. Are they so mad than they can't differenciate the Truth from the other things? What will stay? Those darkned wolves, hunting false priorities.Thoughtcatched, absorbed, cultist in an illusion world, they're just kings of the cruel beasts hidden in theirselves. Do they realize that? I see them, pale as dead, in front on their screens. They're machines, slaves. But, just a simple error, a change could...
If this system, that seems vital for their, breaks down, would they die?
Are they (really) stupid?
They're just Humans, not Shadows from Night. Ephemeral things, they're searching Immortality. They fear the Truth, and take refuge in that kindly sprawling connexion, which, as a spider, traps them, conditions them. They are highness, or dust, I can't tell.
It's just a war for informatic codes!
They drink at this shameful breast, which doesn't exist, a slow death, burning everyday more. Fallen by yourselves, be haunted by that rage! Throned yourselves, kill yourselves, no matter who you are! No matter how you cares of your existence, you're forgetting who you really are.
I'll laugh of the scourge haunting you!
Absinth tast disease, I laugh of you!
Your filthed hatred is leading you, broken puppets, but you can realize it. Are you realy children we have to drive?
I've no faith in Gods that could give you such dark gift. No use to try to trap you, because you're making the trap, and push yourselves in. I'm laughting. (I may repeat the same things, but I don't care, I'm right) I'm one of the rare personns that can see the Truth, and you just have Madness and Lie.
What are you afraid of?