avec plaisir torquemada sans te manquer de respect je ne vois aucune insulte dans ce mot
A.− Subst., trivial. Région du corps féminin où aboutissent l'urètre et la vulve. Ces mégères révolutionnaires, qui pissent à con béant sur les cadavres des gens qu'elles ont égorgés (E. et J. de Goncourt, Journal,1885, p. 429).
− En partic. Sexe (organes génitaux externes) de la femme :
1. C'est une impiété inepte d'avoir fait du mot con un terme bas, une injure. Le mépris de la faiblesse? Mais nous sommes si heureux qu'elles soient faibles. C'est non seulement le propagateur de la nature, mais le conciliateur, le vrai fond de la vie sociale pour l'homme. Michelet, Journal,1857, p. 331.
2. Chez lui [Paul Gavarni], l'obsession presque morale du cul, du con. Sa fascination est là et c'est comme un éblouissement. Ses divagations, ses systèmes, sa philosophie y reviennent sans cesse, comme à un centre de l'humanité, l'anneau où passe la succession des générations. E. et J. de Goncourt, Journal,1868, p. 404.
♦ P. méton., vieilli. Les choses du con. Rapports sexuels :
3. ... Daudet, comme un peu grisé par l'électricité de l'orage, dit : « Oh! c'est positif : dans les choses du con, j'ai été un scélérat, ... E. et J. de Goncourt, Journal,1892, p. 287.
B.− P. méton., au fig., vulg. [P. réf. au sexe de la femme pris comme symbole de l'impuissance et de la passivité]
1. Subst. Personne idiote, bête. Vieux con, espèce de con :