Depuis quelque temps m'est venu le hobby d'écrire des poèmes à temps perdu et je voulais votre avis à savoir lequel des trois suivants est le meilleur
(Il y a probablement un certain nombre de fautes orthographiques)
Voici le premier
Comment vivre dans ces sombres ombres immondes,
Sombres catacombes aux doux sons bredouillés
Pénombre en surnombre dans l'ombre du monde
Où sombrent les hommes dans les sombres vallées
Pourquoi survivre à la dérive des rives
Quand arrivent les rêves qui ne nous délivrent
Alors que givre la force de ceux qui vivent
Dans la dérive agressives de nos rives
L'espoir de voir prévaloir la vie à la mort
Dans ce mouroir où vouloir est ostentatoire
Où le soir aura le pouvoir sur notre sort
Tant que le temps sera aux puissants qui ont gloire
L'enfant, criant, souffrant, défaillant ne pourra
Pourtant il est tout temps que vivant l'enfant soit
Et maintenant je vous offre le deuxième
Ta peau, mille fois plus douce que le satin
Mériterais un hommage des plus divins
Et ton sourire, plus chaleureux qu'un soleil
Ranime joie, espoir, ravis et ensorcelle
Ta voix, cette mélodie la plus magnifique
Saurait même faire fondre le cœur de la brique
Pour te voir nombreux traverseraient un enfer
Et plus grand encore afin de pouvoir te plaire
Aphrodites et Vénus ne sont que des noms
Dont tu éclipses toute représentation
Toi, être dont la beauté transcende les cieux
Je ne vivrai jamais que pour tes jolis yeux
Où brûle la torride flamme de ton âme
Dont la chaleur réchauffe le plus froid des hommes
Et finalement, le troisième
Jours d’étés, sous le soleil, brasier enflammé
Éclairant nos esprits de sa douce clarté
Énergisant nos corps, ranimant leur flambée
Revenant sans cesse après le ciel cendré
Doux rafraîchissement adossé près du feu
Profitant de la vue dégagée sur les cieux
Ce firmament étoilé, spectacle de Dieu
Douces nuits d’été, souvenirs les plus précieux
Journées d’automne, alors que changent les couleurs
Que commence la disparition de ces fleurs
Que les arbres montrent leur ravissante splendeur
Et que chaque jour perds de plus en plus d’heures
Fraîches nuits près d’une flamme revigorante
Qui du froid protège notre fragile charpente
Ces moments brillants de la joie omniprésente
Sous les charmantes lunes à la fraîcheur constante
Heures d’hiver, ou le froid soleil sème sa froideur
Saison morte ranimant souvenirs de douleurs
Alors que la vie sombre, devenant noirceur
Et que les arbres résistent nus, tous en pleurs
Nuits sans fins dans une désolation de glace
Où même le brasier ne peut garder sa place
Alors que l’âme, transie simplement s’efface
Dans ce givre où la vie va sans laisser trace
Jours bénis de printemps, la vie s’en revenant
Le soleil arrivant enfin, resplendissant
Les ténèbres de corps et d’esprit s’occultant
La vie, tous les droits reprenant tranquillement
Nuits d’espérances, après celles de supplices
Quand la flamme revient avec ses bénéfices
Douce chaleur après le froid et ses caprices
La vie revenue, la mort plus que cicatrice