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ceci est un poème que j'ai composer pour un examen de français, donc s'il-vous-plait ne le copier pas avant au moins 2 mois le temps que ma note soie inscrite.




Tous les arbres pleurent
Tous les ruisseaux, les rivières et les fleuves pleurent
La perte de toutes ces grandes forêts
Qui avant, toute la Terre couvraient

Demain, tous les arbres seront partis
Et les animaux les auront suivis
Quand toutes les espèces auront disparu
L'humanité comprendra-elle seulement sa bévue?

Quand les corbeaux, les aigles et les autres oiseaux
N'oseront plus se poser
Par crainte de finir asphyxié
Par les gaz , ces terribles fléaux

Quand les pluies dévoreront nos maisons
Et que les formes de vies jeûneront
Quand les peuples s'entredéchireront
Pour de simples morceaux de jambon

Quand tous seront rempli de cupidité
Ce sera le crépuscule de l'humanité
Mais les hommes comprendront-ils enfin
Qu'ils ont pris le mauvais chemin?

Ce n'est toutefois pas encore la fin
Il est toujours temps de rebrousser chemin
Il faut cesser de tout saccager
Pour le salut de l'humanité

#2
Réel?


Réel ou irréel
Tel est la question éternelle
Comment pouvoir distinguer
Le Rêve de la réalité

Qui nous dis que ce que l'on vie
N'es pas que le rêve d'autrui
Ou que le monde autour de nous
Est autre que la création d'un fou

Ces mots vous lisez
Ont-ils jamais vraiment exister
Ou ne sont-ils que le fruit
De l'imitation d'une vie

Comment distinguer le réel de l'irréel
Quand on n'a jamais vu la réalité
Si l'on vit dans l'irréel
Alors tout n'est qu'imaginé

Qu'est-ce qui différencie
L'irréelle de la vrai vie
Si l'on a toujours existé
Dans un monde purement inventé

Si tout ceci n'est qu'un rêve
Qu'y a-t-il de l'autre côté du rideau
Qui est donc cet orfèvre
Qui a conçu ce monde si beau


Vous qui lisez ces mots
Êtes-vous seulement une création de mon cerveau
La réalité telle que l'on la voit
Existe-t-elle ou pas


Veut-on connaître la vérité
Sur le réel et l'irréel
Ou dans notre caverne veut-on demeurer
À craindre l'immatériel

#3
Terreur


Ce froid qui gèle la flamme
S'infiltre en mon âme
Je le sens qui me paralyse
Car la peur mon contrôle a prise

Cette air lourd
Présage de ce mal tout autour
M'empêche de respirer
Et tente de m'étouffer

Ces sueurs froide qui me préparent
À cette Chose et son regard
Son regard inflexible
Qui m'a pris pour cible

Je sens la peur en moi
Trop grande pour lui opposer un combat
Elle détruit ma volonté
Et va me faire trépasser


#5
Culpabilité


Son sang sur mes mains
Me répétant sans cesse ce refrain
Cette futile rengaine
Ma vie pour la sienne

Je n'y peut rien
Ce qui est fait est fait
Et le temps ne reculera jamais
En mal ou en bien

Comment peut-on vivre
Lorsqu'on est vaincu par sa mort
Nul ne peut y survivre
Pas même la Mort

Comment se lever chaque jour
Après avoir perdu cette amour
Cet être que l'on a chéri
Et qui maintenant est parti

Je sens que je perds de plus en plus la raison
Chaque fois que j'entends son nom
Un jour ma volonté sera anéantie
Et de mes actes rien je ne garantis

Comment faire face à cette culpabilité
Qui vous brûle les entrailles
Comment peut-on espérer
Quand notre vie n'est plus que ferraille

Je sens cette ombre recouvrir mon âme
M'enverra-t-elle rejoindre ma flamme
Sa pression devient trop forte
Je veux rejoindre ma dulcinée morte

#6
Nuit


À la nuit tombant
Ombres défilantes
Dans ce lieu pestilant
Monde désolant

Horreurs cachées
Dans les ténèbres inviolées
Ce monde de noirceur
D'où proviennent nos peur

Jardin secret
Pour tout genre d'individus
Criminels tordus
Ou amoureux discret

Temps de la vie
Pour ceux qui sont honni
Le temps des assassins
En quête de leurs butins

Endroit aux milles mystère
Où l'on craint de s'égarer
C'est fou ce qui vous arriver
Dans ce monde brumaire

#7
Temps


Concret comme abstrait
Ton sens personne ne connaît
Tu de contente d'être
Tout en continuer de disparaître

Éternel et continu
Rien n'échappe à ta vue
Impossible de t'échapper
Tu vas toujours nous rattraper

Parfois long
Parfois court
Tout comme les protons
Présent à chaque détour

Certains te méprisent
Alors que tu es tout
Ta nature incomprise
Te rend inflexible à tout

#8


Espoir

Moteur de la populace
Rendant possible la vie en masse
Tu fais vivre ces connasses
Pourtant pires que des limaces

Cause de plusieurs guerres
Sans en être la première
Brillant comme un éclair
Dans cette vie éphémère

Tu encourage les gens
Qui espèrent de meilleurs temps
Que ces jours si éclatants
Reviennent avec le levant

Tu permets de vivre
Dans ce monde qui dérive
Ces gens qui vivent ivre
Attendant que l'espoir les délivre

#9

Las


La lassitude m'envahit
Quand je songe à cette parodie
Cette douce ineptie
Que l'on nomme nos vies

Je suis las de ces absurdités
Que l'on cherche à nous faire avaler
Ces mensonges cachés
Quand la vérité nous est dissimulée

Las de voir le temps qui passe
Las jusqu'à en attendre le glas
Las de ces gens qui trépassent
Las de la mort qui nous embrasse

Je suis las de tout ces moments perdus
À écouter ces paroles tordus
Las de ce que j'ai vu
De tout ce qui est maintenant disparu

#10

Amour


Dans toutes les foules tu te démarques
Toi qui dans mon coeur a laissé ta marque
Depuis que mon regards a rencontré le tien
Mes yeux rêvent de croiser les tiens

Ces yeux miroirs de ton âme
Ou l'on voit brûler cette flamme
Qui montre la force de ta volonté
Qui a toujours su triompher

De par ta grâce et ton charme
Tu as conquis mon âme
Ta beauté ne peut être égalé
On ne peut même l'espéré

Ton sourire si éclatant
Est comme mille diamants
À chaque fois que tu me souris
Je suis à nouveau conquis

#11
Indécision


Je suis maintenant en plein milieu
De ce tunnel ténébreux
Où règnent mort et ombres
Ténèbres profondes

J'entends un train qui arrive
Ma vie qui dérive
D'où vient le rugissement
De ce monstre effrayant

Comment choisir un chemin
Lorsqu'on a plus de carte en main
Comment faire le bon choix
Quand on ne peut plus ce fier à ce que l'on voit

D'un sens la vie
De l'autre la mort
Et si je restes ici
Nul doute sur mon sort

De quel côté partir
Je sens le moteur rugir
Comment faire pour retrouver
Cette douce liberté

Si je ne prends pas un chemin
Je ne verrai pas le lendemain
Mais si je me trompe dans mon choix
Je reposerai en cet endroit

Puisse le sort m'être favorable
Et vouloir m'accorder
Une vie agréable
Au près d'êtres aimés

S'il ne veut point m'épargner
Je ne peux le lui reprocher
Je ne souhaites pas changer ma vie
C'est elle qui m'a fait comme je suis

allez quelqu'un, un commentaire
le prochain a commenter aura une surprise

Voilà ta surprise, un beau gros Merci!

Bah je l'ai envoyer a plusieurs amis et sur Facebook mais personne ne commente nul part!!!

petit up avec ajout d'autres de mes écritures

Soirée tranquille, marche dans la nuit
Les idées défiles, des pensées à l'infini
Qui suis-je, qu'est-ce que je suis
Que fais-je, qu'est-ce que je vis

Paradoxe même à ma propre identité
L'hermite vivant en société
L'insensible au coeur doré
Le malheureux toujours enjoué

Fantôme au reste de l'humanité
Homme quelquonque vite oublié
Écho d'un souvenir du passé
Dont les murmures se sont effacés

Le jour se lève, retour au réel
Victime de l'oubli universel
Dans ce grand cycle mortel
De la routine perpétuelle