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31. 05. 2011, 00:56

« - J'ai l'impression d'être dans un sac de toile qu'on aurait balancé au fond d'un puits, avec une cuillère à café pour sortir de là. Jvois pas trop comment sortir de cette merde. »

Iridia s'était retiré dans sa tente pour étudier le problème. Le tourner dans tout les sens, secondes après secondes, histoire d'y voir plus clair. Le dôme cédait. Ses faibles connaissances en électronique, les plus avancées de la cité probablement, lui indiquait qu'il s'agissait d'une défaillance d'ordre énergétique. Ou le cœur de l'alimentation, ou le transfert d'énergie. Ceci dit, les humains n'avaient jamais créé de boucliers de cet ordre. C'était avant la guerre de la pure science-fiction. On pouvait se dire que si l'une des unités cédait, les autres foutaient le camps avec. Les Anciens auraient-ils fait une erreur de cet ordre ? Ils étaient aux abois à l'époque. Pas le temps de faire dans la dentelle. Mais sans trop douter, la vampire pariait sur l'alimentation principale. Ça y ressemblait bien. Des défaillances brutales, aléatoires et globales. Et là, ça faisait chier. Parce que personne ne savait d'où venait l'énergie du dôme. Le secret s'était perdu. Et très prosaïquement, jusqu'alors, tout le monde s'en foutait.

S'ils n'avaient pas passé le dernier siècle à se mettre sur la tronche, ses congénères auraient pu faire des miracles et sensiblement améliorer leur quotidien, ainsi que celui de leurs subordonnés. Ce qu'elle avait tenté de faire, à sa petite échelle. Mais il fallait se rendre à l'évidence : les vampires, toutes races confondues, étaient des saloperies de parasites. Au niveau purement physique, mais aussi psychologiquement. Incapables du moindre progrès technique ou moral. Tout juste bons à perpétuer une guerre qui avait perdu la moindre raison d'être. Probablement à cause de leur mégalomanie, ce sentiment de puissance, clairement immérité, cette crise en était la preuve.

« Plutôt austère de travailler avec vous. »

Le prophète venait d'entrer dans la tente. Elle avait bien précisé qu'elle dormirait avec lui jusqu'au coucher du soleil. Ne tenant pas à se retrouver seule avec Turmac pour le moment, la situation ne s'y prêtait vraiment pas.

« J'essaie de démêler ce sac de nœud. Mais avec le peu de données dont je dispose, ça va pas être de la tarte. »

L'homme sourit. Il avait l'air vieux, ses yeux bleu perçant votre âme comme un fil monomoléculaire dans une motte de beurre. Ses rides traçaient une cartographie complexe, kabbalistique, sur son visage. Il enleva le chapeau posé sur sa tête et s'installa.

« Le nœud gordien. Souvenez-vous d'Alexandre. Il faut trancher dans le vif. »

Encore un qui avait compris son intérêt pour les légendes grecques. La belle affaire.

« Et vous auriez pas un réacteur nucléaire dans le camion ? Non mais parce que sans ça, je ne vois pas de solution. »

Le soleil se levait à présent, mais la tente les protégeait. Ils étaient coincés désormais. Iridia avait posé des sismo-senseurs autour du campement avant de se coucher. Le cadavre de la méduse, au moins la tête laissée par la gamine insolente, devrait faire l'affaire pour la journée. C'était toujours mieux qu'un panneau « Attention, vampires méchants. ».

Un peu plus tard dans la journée, les sismos s'emballèrent, tous en même temps. Le sol trembla quelques secondes. Iridia attrapa son scanner, histoire de voir à quoi ça ressemblait. Secousse généralisée, en provenance du Sud. Une grosse explosion à leur point de départ. Le prophète esquissa un sourire.

« Voilà. Acte 2. Ça a sauté. »

Elle se retourna pour le foudroyer du regard.

« Et qu'en savez-vous ? »

Il s'étira avant de s'asseoir sur sa couchette.

« IL me l'a dit. Même en dehors de la cité, je peux encore Lui parler. Celui qui m'envoie. IL n'est pas des nôtres. Mais nous avons des intérêts communs. Et Il vient de me dire que le bouclier vient d'exploser. Surcharge critique, je suppose, mais ça c'est votre boulot. »

Voilà qui n'arrangeait pas leurs affaires. L'explosion avait, elle en était certaine, vitrifié une grande partie des immeubles encore debout. En pleine journée. Ça devait être une véritable hécatombe. Et, si la Forge avait été touchée, irrémédiable. À présent, elle était au moins sûre que c'était les piles qui s'étaient emballées.

« On peut encore s'en tirer, à condition de faire vite. »

Un peu plus tard, un bruit de ronflement se fit entendre. Le véhicule démarrait. Iridia bondit.

« C'est quoi encore ce bordel ? »

Pas de doute, le camion était en train de se faire la malle, avec dieu sait qui aux commandes. Coincée dans cette tente avec l'ancien, elle enrageait.

Traître™ n°1
Parce que nous n'avons aucune morale, aucune fidélité, aucuns amis et que nous aimons ça.

Ce message a été modifié 2 fois, dernière modification par "Iridia" (31.05.2011, 02:33)


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01. 06. 2011, 15:27

"Evangéline! Il faut qu'on trouve un moyen de contacter le camp, une carte, n'importe quoi..."



Elle fronça les sourcils, arborant une expression dépitée de chat mouillé, puis gromela :

- Arrête de m'appeler comme ça -__-

Puis tout en réfléchissant au problème que le gus venait de poser sur la table, elle laissa errer distraitement son regard autour d'elle, confortablement renversée dans son siège. Retourner à l'oasis... Jusque là elle n'en avait pas eu l'intention, et c'était pourquoi la chose lui parut somme toute plutôt épineuse. Il fallait soit que les autres les trouvent et viennent les chercher, soit qu'ils retrouvent seuls le chemin, soit qu'ils trouvent quelqu'un ou quelque chose pouvant leur montrer le chemin. Pas de chance, ils étaient seuls dans le camion, apparemment sans carte de la zone, et pour finir, sans le combiné talkie dont l'emplacement vide béait glorieusement à côté du panneau des commandes radio. Super. Le vent avait effacé leurs traces, ou tout du moins, avait créé entre temps tellement d'autres motifs sur le sol qu'il était bien difficile de deviner lesquels étaient leur piste. En clair, s'ils voulaient retourner au campement de la bande de clampinets, ils n'étaient pas au bout de leurs peines.

Le rat sur son épaule commençait à s'agiter, rendu inquiet par la brusque baisse de la tention dans l'air après qu'il ait failli finir en petit déjeuner express. Elle lui donna une petite tape sur la tête pour lui signifier qu'il avait plutôt intérêt à se taire s'il ne voulait pas qu'elle décide de se servir de sa queue comme d'un cure-dent. L'animal s'immobilisa, puis, au bout d'une dizaine de secondes, recommença son cinéma.

- Turm, la ferme tu veux. Ordonna-t-elle platement et fermement.

Elle releva la tête en sentant peser sur elle le regard rubis de son nouvel associé. La faim qui y avait lui avec une féroce intensité quelques minutes auparavant semblait d'être apaisée. Quand elle regarda de nouveau le rongeur, dont les deux yeux comme des petites billes noires brillantes la fixaient avec insistance, le parallèle s'établit immédiatement dans son esprit. La ressemblance était frappante, elle aurait du y penser plus tôt!

- Je sais! O_O

Elle se redressa d'un bond. S'il y avait une chose qui ne s'était pas le moins du monde atténué chez elle, c'était bien sa capacité à voir des solutions partout, là où il y en avait tout comme là où il n'y en avait pas.

- On lâche le rat dehors et on le suit! Il crève la dalle et la soif, il va aller direct à l'endroit le plus proche où il pourra trouver de quoi satisfaire ces besoins. Soit on retombe sur notre camping paradisiaque, soit on se retrouve dans une autre station balnéaire paradisiaque, et dans ce cas, on trouvera bien le moyen de mieux se réorienter.
Que sonne le glas de la Mort, que résonne la colère des cieux déchaînés, que s'élèvent les hurlements de désespoir et les suppliques vaines, que déferle le torrent des flammes infernales, que coule le sang de ces vies impies, que perlent à leur paupière le regret de leur vie souillée. Mais que cesse enfin, cet insipide et insidieux battement dans ma poitrine...

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01. 06. 2011, 16:18

Le rat s’appelait "Turm"... C'était la grande nouvelle de la journée. Bloodlovin avait trouvé le moyen de se retrouver coincé dans un camion avec Evangéline en pleine crise d'identité et un rat nommé Turm.
Il était difficile de se situer dans le désert, du moins lorsque le voyage avait été effectué lors d'un essai pour tenir debout à l'arrière de l'engin.

"On lâche le rat dehors et on le suit! Il crève la dalle et la soif, il va aller direct à l'endroit le plus proche où il pourra trouver de quoi satisfaire ces besoins. Soit on retombe sur notre camping paradisiaque, soit on se retrouve dans une autre station balnéaire paradisiaque, et dans ce cas, on trouvera bien le moyen de mieux se réorienter."

L'idée était loin d'être complétement idiote. La manoeuvre risquait d'être difficile, puisque suivre un rat avec un engin de cette taille sans l'écraser se révélait délicat, mais il n'était pas impossible de réussir.
Il y avait seulement un défaut majeur.

"Je prends Turm, je lui ouvre la porte, finit en cendre, puis tu te démerde pour réussir à suivre quatre ou cinq centimètres de chair dans le sable avec un engin de cette taille? Bah qu'attendons-nous? Viens Turm, t'as toujours été un soiffard de toute façon..."

Sur ces mots le vampire s'empara du rat qui n'hésita pas une seconde à planter ses dents dans la chair froide du vampire. La porte vers la partie "passagers" s'ouvrit sans mal, l'arrière du camion était toujours aussi organisé. Il devait y avoir un moyen de mettre le plus à exécution sans se faire un bronzage d'enfer. Si seulement toutes les tentes n'avaient pas été déployées.

"Le rat a raison, honneur aux dames."

L'hémophage tendait la bestiole entre ses mains, la laissant se débattre avec la force du désespoir. Enfin il avait la vie de Turmac entre les mains et comme toujours celui-ci mordait... Il n'y avait bien qu'Evangéline pour gérer la situation.

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07. 06. 2011, 21:00

Arborant de nouveau une expression de chat tombé dans une flaque d'eau boueuse, l'absorbeuse marmonna quelque chose dans sa barbe. Puis elle entreprit de fouiller dans une des nombreuses poches des ses vêtements. Rah elle avait bien du le garder quelque part...

Elle finit par mettre la main sur ce qu'elle cherchait : un charlant petit collier de cuir épais, orné d'une fine plaque d'acier où était gravé : " Turm' " . Elle avait trouvé l'objet sur le rat, en même temps qu'un petit mot laissé à sa propre intention par elle-même (cela arrivait parfois). "Interdiction de changer : spécial dédicace " . Même si elle s'était résignée à ne pas changer le nom, elle n'avait pas laissé l'objet sur le rongeur, agacée de cette marque criante de son passé, dont elle ne comprenait même pas le sens.



Sans délicatesse, elle passa la lanière autour du cou de l'animal qui continuait à s'acharner férocement sur les doigts à la poigne de fer du vampire. Les dents acérées du rat laissaient de profondes entailles dans la chair, et des sillons de sang noirâtres s'écoulaient paresseusement autour du rongeur, poisseux et froids.

- Bon, à part ça on a pas un émetteur que le radar pourrait repérer mieux que la chaleur d'un rat au milieu du désert brûlé de soleil?

Elle reprit des mains de l'autre son rongeur attitré, qui se calma vaguement, puis tout à fait quand elle lui montra les crocs. Pendant ce temps, son associé du moment avait déniché ce qu'il leur fallait : apparemment, il connaissait assez bien le véhicule. Une fois leur émissaire dûment paré pour jouer l'attelage-gps, avec l'émetteur fixé à son collier, elle attendit que l'autre enclenche l'ouverture de la porte arrière, et lança le rat avec une adresse magistrale : l'animal couinant glissa sur le plancher métallique, rebondit sur la jointure de la porte, et retomba à l'extérieur sur le sable ensoleillé avec un petit bruit de chute ridicule. La porte se referma avec un claquement sec, et le point rouge sur le radar se mit à clignoter tranquillement.

- Suivez le guide... Je te laisse conduire si tu n'y vois pas d'inconvénients hein...

* Et toi Turm, t'as intérêt à nous emmener où on veut sinon ça va chier, et je te fais griller vivant avant de te noyer dans cette foutue oasis une fois qu'on y sera retourné! *
Que sonne le glas de la Mort, que résonne la colère des cieux déchaînés, que s'élèvent les hurlements de désespoir et les suppliques vaines, que déferle le torrent des flammes infernales, que coule le sang de ces vies impies, que perlent à leur paupière le regret de leur vie souillée. Mais que cesse enfin, cet insipide et insidieux battement dans ma poitrine...

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09. 06. 2011, 18:40

A peine le temps de piquer un petit roupillon qu'une envie de dégorger le poireau força Turmac à sortir... S'éloignant légèrement de sa tente, il se planta face à un palmier et fixa le ciel tout en urinant. Le mouvement des nuages attira son attention, ils tournaient dans le sens anti-horaire à une vitesse peu commune. Il ne fallait pas être Evelyne Dhélia pour comprendre qu'un cyclone se baladait dans le coin... Boarf, ça n'avait pas vraiment d'importance tant que le bouclier était encore en état... Il regarda vers la cité, il ne la verrait pas, mais il apercevrait au moins un halo légèrement vert se dessiner sur la ligne d'horizon. Mais rien, pas de halo verdâtre... Le bouclier avait cédé. Et certainement que le cyclone était en train de danser la salsa en plein cœur d'Ultima...
De toute façon, il ne pouvait rien faire en l'état actuel des choses. Autant se recoucher... Iridia leurs ferait sans doute un petit briefing d'ici quelques heures.
Mais là encore, pas le temps de terminer son rêve érotique avec Roman Polanski (ne cherchez pas, c'est le subconscient de Turmac) qu'un boucans du diable sorti l'absorbeur de son doux rêve. Crissement de pneus, ronflement de moteur... On se taillait avec le bahut ! Il espéra tout de même que c'était l’œuvre de pillards quelconques et que ses chers camarades ne l'avaient pas planté là sans raison.
La journée passa assez lentement, mais la nuit fini tout de même par tomber et tous purent sortir de leurs tentes... Un rapide coups d’œil sur l'ensemble du groupe et le mystère du camion envolé trouva un coupable tout désigné...

- Bloodlovin ! L'espèce de petite crevure de raclure de fond de bidet ! Je vais le crever si j'le choppe !

- Calmos Iri... Parti comme c'est, on va certainement crever dans le désert avant d'avoir foutu la pâte sur ce naze. Autant éviter de quitter ce monde en étant frustré... Qui est partant pour une partouze ? Vous êtes invité aussi le vieux !

Il n'eut pas le temps d'éviter la paume d'Iridia qui s'étala sur son visage dans un claquement sec, provoquant par là même un léger gloussement de la part de Firunbel.

- Oh ça va... On a le droit de déconner...

- Pas quand on va tous y passer !

- Qui te dis qu'on va tous y passer ?

- Mais bordel Turm', ça crève les yeux et le reste !

- Attends deux petites minutes...

Ne laissant pas aux autres le temps de l'interroger, Turmac se dirigea au centre de l'Oasis et plongea dans le lac (ou la marre puante si vous préférez)... Il nagea jusqu'au fond et remonta. Cela pris cinq bonne minutes... Lorsqu'il ressorti la tête de l'eau, il se mit à cracher ses poumons. Une fois la quinte de toux passé, il regarda Iridia, sorti sa pipe, l'alluma (la pipe) et laissa apparaître un large sourire sur ses lèvres...
"La foi, pour celui qui se tient au bord de tout ce qu'il connaît, et qui s'apprête à se jeter dans l'obscurité, c'est la certitude qu'il ne peut se passer que deux choses : qu'il trouvera sous ses pieds quelque chose de solide, ou qu'il apprendra à voler"
Horus Lupercal.

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22. 06. 2011, 02:26

Après avoir averti les vampires qu'il croyait en expédition, Varmat a prit l'un de ces poignards et il s'en ai servi pour voir le combat qui allait avoir lieu. Il a vu l'un des vampires se caché sous le véhicule et d'autres vampires sont arrivés, pendant qu'une jeune vampire écoutait le combat. Sachant que la troupe pourrais surement vaincre la bête, il a décider de ne pas se mêler du combat. Lorsque la méduse a été tuer, Varmat a été surpris de constater que les vampires restaient là. Il les a vus se faire un campement et a décider de rester pour voir ce qu'il allait se passer.

Lorsque le jour est arrivé, il s'est tout simplement couché sous sa couverture anti-rayons-solaires et il a attendu.
Il venait a peine de s'endormir lorsqu'il a entendu un bruit assourdissant, le véhicule avait été mis en marche et le conducteur était parti a toute vitesse en laissant les autre vampires a l'oasis.

<<Demain, j'irai les voir pour savoir ce qu'ils font sur mon territoire>>, s'est-il dit avant de se rendormir pour la journée
''Si vis pacem, para bellum''
''igne natura renovatur integra''
Le Temps seul pourra effacer la souillure laissée par l'Homme.
"L'argent n'est que la représentation matérielle du temps perdu.
Ut1-3-4: Math909
UT2 Nidhogg


La Totalité de mes Oeuvres



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16. 07. 2011, 11:16

Après une lutte plus ou moins acharnée,la Méduse n'est plus qu'un lointain souvenir.C'est a ce moment là qu'une vampire se pointa en direction du buste de la Méduse et le vidant de tout son sang avant d'allerse rincer la bouche et de lançer:

Merci.Pourriez vous cuisiner mes repas plus finement.

Selene se demanda qui était cette vampire plutôt séduisante qui venait d'apparaitre.

Aussitôt un vampire du groupe s'adressant a chacun pour diverses raisons avant de décocher une droite dans le visage de la jeune vampire qui atteris la tête la première dans le sable en lui lançant:

On est pas venu pour jouer, la merdeuse. On vient de la cité. On doit bosser. Fout le camps.

Au même moment un autre vampire du groupe trébucha et s'étala par terre,se releva aussi vite qu'il s'est retrouvé par terre et cherchant ce qui pouvais bien l'avoir fais tomber et finit par trouver la raison de sa chute.Tirant la chose ayant entrainer sa chute qui semblait être un bras .Aussitôt le vampire sortis du sable et s'adressant a un certains Firunbel en se faisant appeler Cryzer.

Visiblement ils ont l'air de se connaitre.

Aprés toute cette agitation et une fois le calme revenu chacun gagna sa tente pour la nuit,Selene en fit de même.Bien que sa tente ne soit pas de tout luxe celà lui suffisait amplement.

Selene décida qu'il était temps de changer ses vétements sales et a moitié déchiré par de nouveaux pour son propres confort.A peine a t'elle enlever ses vêtements sales qu'un vrombissement soudain se fit entendre au dehors.Sans prendre le temps d'enfiler ses vêtements de rechange Selene sortis en trombe en hurlant:

Putin le camion se barre c'est quoi ce bordel?

Apparement chacun des vampires étaient sortis de leurs occupations pour comprendre ce qui se passait.

Bon on se bouge,on fais quoi?J'ai pas envie d'attendre que le soleil me consume demain matin.
a vaincre sans périls on triomphe sans gloire



L'intelligence c'est comme un parachute quand on en a pas on s'écrase

Ce message a été modifié 2 fois, dernière modification par "selen26450" (17.07.2011, 10:53)