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07. 09. 2009, 13:40

Un demi et trois picons plus tard...

Préface :

Un texte que j'ai écris le 06/09/2009 au soir alors que j'étais seul à la terrasse d'un bar.
Tout commentaire est bienvenue si vous avez le cœur d'en faire...
Écoutez ça en même temps si ça vous dis : http://www.deezer.com/listen-2507417


Le texte en lui même :

Il est l'heure d'y aller... Enfin, "l'heure d'y aller" ; comme si j'avais prévu que les choses allaient finir comme ça ? Comme si tout ceci n'avait été qu'une vaste horlogerie dont le tintement aurait donné une raison d'être à toutes les pièces et processus qui le précédaient alors qu'en réalité, tout ceci n'est qu'une association hasardeuse de coïncidences.
Cependant, une question me taraude... Ou plutôt plusieurs questions ; l'une en entrainant généralement une autre encore plus tordue... Bref, deux questions me semblent primordiales. Primo, pourquoi moi ? Deuxio, suis-je parano au point de prendre une chose n'étant que le lot de tout un chacun comme une attaque faite à mon encontre ?
Je n'en sais rien et je m'en fous en fait. Je me suis toujours retrouvé avec un train de retard dans ce genre d'histoire... Je réfléchis quand il ne faut pas et ça chie dans le pâté.
Et maintenant ? Bah je suis en route. Même pas été foutu d'aller à l'encontre de ma connerie... Et puis maintenant que j'ai mis un pied dans la fosse à purin, autant y aller carrément. Y a pas de raison que les pompes s'en prennent plein la tronche et que le col de la chemise n'ait rien, non ?
Rien à foutre de rien ce soir ! La retenue, la bonté et autres conneries je m'assoie dessus. Il va pleuvoir de la merde et ça va éclabousser tout le monde !
Ça risque de me faire rire.
On me conseille de me calmer... Ils sont marrant ces glands. On voit bien que ce n'est pas eux qui ont le palpitant qui bat à trois cent pulsations minutes depuis trois plombes. Je vous jure... Il me font marrer ces branleurs à me prodiguer leurs conseils à deux ronds. Eux qui ne sont même pas capable de faire face sans trembler comme des parkinsoniens au moment de passer l'arme à gauche. Leurs conseils à la mords moi le nœud ils peuvent se les foutrent au cul enrobés dans de la laine de verre. Au moins ils brailleront pour quelque chose ces trous du cul.
Bref, mon état doit se lire sur ma tronche pour qu'on me zieute comme ça...
N'empêche que, bien que ça sente le plan foireux, je sens que ça va me faire du bien. Ça m'évitera de faire des conneries encore plus barrées... Et des conneries, je peux en faire, ça oui. On peut même dire que je suis champion dans cette discipline.
Autour, les conversations s'entrecroisent, j'entends à droite et à gauche sans écouter. Après tout j'en ai rien à foutre ; aucun ne peut comprendre comme je le comprends, même si certains ont pu vivre des choses similaires. C'est égoïste ça, comme raisonnement, de penser qu'aucun être humain ne peut vraiment en comprendre un autre car chacun a sa propre perception des choses. La philosophie, c'est de la masturbation intellectuelle !
Mais je me paume avec mes réflexions à la noix. Putain ! Ça me scie les nerfs, tiens... La méchanceté gratuite devrait prendre le dessus ; ça me faciliterai les choses. Tout envoyer chier ailleurs sans raison avouée. Tracer la route jusqu'à ce que le feu qui me bousille de l'intérieur s'éteigne comme arroser par la pisse d'une quinzaine de scouts un soir de juillet...
Bordel, ça aurait de la gueule ! Mais après il faudrait revenir et ça, c'est pas dit que j'y arrive...
J'ai toujours la solution de facilité consistant à supprimer le problème, mais rien que d'y penser ça me fout la gerbe. Me connaissant, je ne pourrais plus me regarder dans une glace après un coup comme ça. Mais j'avoue que c'est tentant... Ça serait tellement simple. L'outillage importerait peu ; seul importe le résultat... Et bordel ! Quel résultat !
Maintenant j'ai envie de gueuler tout ça, juste pour la nuisance sonore que génèrerait ce desserrage de ceinture. Balancer ma chiasse mentale sur ceux qui m'entourent afin que la gène les envahisse. Car ils seront gênés de ne pas comprendre, de ne pouvoir toucher du bout du doigt l'incompréhensible flot de pensées contradictoires, fruit d'années de contenance et de tempérance qu'une simple équation d'interactions humaines a suffit à faire sortir...
Je vois d'ici les regards ébahis et les bouches grandes ouvertes. Je me gondole déjà !
Ils sont là, confortablement installés dans leur quiétude précaire. Il suffirait que l'incompréhensible laisser-aller d'un être humain éclate, là, maintenant, pour qu'ils réalisent à quel point nous sommes seuls, sans exceptions...
Je ne pensais pas qu'une chose aussi simple, banale et naturelle de surcroit puisse provoquer chez moi une telle réaction. Dans le genre surprise à la con ça se pose là. Moi qui pensais pouvoir prendre ça calmement, hey ben je me suis foutu le doigt dans l'œil jusqu'à me titiller le colon avec le coude. Et ça, ça fait chier !!!
Et j'accentue la chose en plus, comme un gland. Si j'avais un minimum de jugeote et d'amour propre j'aurais fait le bon choix ; mais non, j'ai préféré foncer dans le mur tête baissée pour voir si ça passait. Mais tout ça, fallait y cogiter avant. Fallait y penser au bon moment et pas trois millénaires plus tard...
J'ai tout planter dans cette histoire, même si au premier abord je n'y suis pour rien... La majorité des glandus qui m'entourent n'ont pas cherché à aller plus loin que la première impression. C'était plus facile pour eux et je ne les en blâme pas... Mais ils auraient au moins pu fermer leurs claque-merde au lieu de faire un procès à ce qui n'était pas responsable. Quelle bande de cons... Leur soutient a été aussi efficace qu'une serviette hygiènique sur une plaie ouverte. Ils pensent avoir une utilité alors qu'ils ne font que m'empêcher de laisser libre cours à mon ressentiment.
Mais là encore, c'est de ma faute. Je les ai laissé faire sans rien dire et le résultat n'est donc que de mon fait. J'aurai dû... Mais je ne l'ai pas fait et ça n'a d'ailleurs plus aucune importance maintenant...
Ce qui compte, c'est ce que je vais faire.
Et je me retrouve planté dans la même situation que tout à l'heure. J'ai un tas de solutions mais aucune ne convient...
Planté dans mes groles avec ma bite et mon couteau sans aucun moyen de pouvoir changé quoi que ce soit. Si au moins je pouvais troquer mon couteau contre un caleçon, ça serait peut-être moins risible ? Quoique ?
Pour compléter le tableau, je suis un lâche... Pas une couille-molle, un lâche, un vrai de vrai.
Parce que toutes ces élucubrations n'iront jamais aux personnes consernées. Alors, merde !
Je vais encore me laisser porter par le fil des choses et voir ce que ça donne... Et peut-être qu'une fois au fond du trou j'aurais la force d'en sortir ?
Mais j'en doute...
"La foi, pour celui qui se tient au bord de tout ce qu'il connaît, et qui s'apprête à se jeter dans l'obscurité, c'est la certitude qu'il ne peut se passer que deux choses : qu'il trouvera sous ses pieds quelque chose de solide, ou qu'il apprendra à voler"
Horus Lupercal.

Ce message a été modifié 3 fois, dernière modification par "Turmac" (07.09.2009, 17:30)


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08. 09. 2009, 21:24

Salut Turmac^^

Vrai de vrai? on peut dire ce qu'on pense de ta tirade?
Je suis le 1er à répondre, et c'est presque un honneur!

Je note d"abord que c'est bien écrit.
sujet verbe, complément... oui pas de prob sur la forme....
La forme...
J'ai essayé de comprendre mais c'est peut-être trop pour ma tête qui doit être trop petite.

J'ai l'impression que tu en veux à quelqu'un ou quelque chose mais je n'ai pas réussi à savoir quoi ou qui...

Je n'ai pas compris non plus le fond de ta diatribe.

Je serais curieux de savoir d'un côté la cause de cette colère... (quoique c'est pas le but de ta missive je pense...)

Tu as failli attiré mon attention par cette colère... Tel que j'ai compris ce texte, mais qui manquait, je le regrette, de quelques précisions afin que le lecteur puisse s'orienter et prendre éventuellement parti. Ce qui m'aurait beaucoup plu! Quoi de mieux qu'adhérer à une "noble" cause! (un bon prétexte bien torché m'aurait suffit!!!)

Il manque juste un petit quelque chose pour que cette rancoeur soit parfaite (et compréhensible pour chacun).

Je dirais que la mayo a failli prendre en ce qui me concerne, mais cela manquait de précision (sans pour autant citer quiconque... Il aurait suffit d'un exemple général,: style "ma femme m'a quitté donc j'en veux au monde entier".... ceci dit à la fin du texte évidemment... c'est un exemple...)

Colére un peu vague je dirais pour intéresser le quidam moyen...

Mais je peux me gourrer... (ceci dit, pas beaucoup de réponse dans ce sens à ta prose, ce que je trouve très dommage, vraiment! Mais ça viendra!)

Qu'en dis tu mon ami?
"On est reçu selon l'habit, reconduit selon l'esprit"
concours UT- Naissance d'une cité-
[RP perso] Guerre du sang: L'Origine!

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "Lost" (08.09.2009, 21:29)


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08. 09. 2009, 23:14

Bah si je m'attendais...

Tout d'abord, content de voir que tu es capable de faire une remarque, un commentaire, sans dire que "c'est merdique" (on va dire que c'est de bonne guerre :D ).

Tu cherches à comprendre le pourquoi du comment, ça je m'attendais à ce qu'on me le demande.
Je dirai juste que ce texte n'a été écrit pour personne et pour tout le monde à la fois et même pour une personne en particulier, mais que cela ne la regarde qu'elle et moi...
Le fait que je n'ai pas donné plus de précisions quand à la raison d'une telle colère, c'est parce que c'était personnel, très personnel et qu'en ce sens, je ne voulais pas de remarques du genre "mon pauvre vieux" etc...
Au départ, je ne voulais pas le publier mais, après relecture le lendemain, je me suis rendu compte que le côté flou de la chose permettrait peut-être à certains de comprendre au moins en partie ce tas de mots agglomérés ; enfin, l'émotion mise dedans...

Pour tout dire, je l'ai écris de manière très subjective.
J'avais mon calepin sous le bras et durant le trajet de chez moi au rade où je me suis abimer dans l'alcool toute la soirée et sur le trajet du retour, j'ai écris ce qu'il me passait par la tête.


"La foi, pour celui qui se tient au bord de tout ce qu'il connaît, et qui s'apprête à se jeter dans l'obscurité, c'est la certitude qu'il ne peut se passer que deux choses : qu'il trouvera sous ses pieds quelque chose de solide, ou qu'il apprendra à voler"
Horus Lupercal.

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08. 09. 2009, 23:45

Merci!

en tout cas, une fois qu'on a compris la raison tout devient compréhensible!

Mais même sans çà, j'aime bien, au fond, ton texte là!

Quand on lis, je parle du texte seul, on "sent" bien que le "gars" (celui du texte hein) a un truc à régler. On se demande vraiment quoi. Bon sang on voudrait bien le savoir...
Ouais sans déc, maintenant que j'y ai un peu réfléchis, ton texte fais un peu style "taxi driver"...
tu vois le mec qui te regarde, mais on sais pas ce qu'il va faire (te dire bonjour ou te défoncer la tronche...)

Comme je te disais, il manquait juste une précision à un moment pour donner, au moins, un sens à ce "délire littéraire".
Sinon bien compris le sens grace a ta réponse, merci .

a part çà très bon Turmac, je répéte, c'est bien écris.
"On est reçu selon l'habit, reconduit selon l'esprit"
concours UT- Naissance d'une cité-
[RP perso] Guerre du sang: L'Origine!

Ce message a été modifié 2 fois, dernière modification par "Lost" (08.09.2009, 23:52)


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09. 09. 2009, 07:58

J'ai lu Turmac et j'ai bien aimé le texte.

Je ne crois pas que le sujet intéressant soit de savoir pourquoi le gars est en colère. Non, le meilleur du texte vient du changement de ses intentions.

Au départ, le type est prêt à exploser et à tout exploser. C'est une bombe instable. Surtout, il ne faut pas la déranger. Au fil du texte, il réfléchit et se place par rapport à son histoire. La bombe est toujours en activité mais elle devient stable. Un processus de désamorçage se met en place. Il finit par la rendre inerte en choisissant de garder cette bombe au fond de lui en se demandant si un jour il aura le courage de la faire exploser et de faire bouger les choses.

Ce texte est remarquable sur la question de comment peut-on réagir face à une situation négative. L'auteur donne ici un point de vue en annonçant clairement que c'est une façon comme une autre de réagir. Le type n'est-il pas un incompris total par ses amis et les inconnus? L'auteur choisit de justifier le choix de la réaction par une lâcheté que le type peut encore supporter. Cependant si on lit bien, il n'est pas lâche de ne pas oser s'exprimer et dire ce qu'il pense à ses "amis" vraiment mais il est lâche de ne pas entreprendre une solution à son problème.

La fuite du personnage et sa décision nous arrivent à tous à un moment donné. La solution de fuite n'est pas une solution. Quand le personnage annonce qu'il pense qu'il ne fera jamais rien par ces mots Mais j'en doute..., l'auteur les accompagne par les points de suspensions qui sont ici primordiaux. C'est une sorte de clin d'œil au lecteur pour lui dire "vous savez bien que pour pouvoir un jour résoudre le problème, il devra s'exprimer et agir".

Je pourrais encore dire des tas de choses sur le texte et l'analyser à fond mais je sais pas si c'est bien de le faire...

Turmac, pour moi, un texte se suffit à lui-même et je ne cherche jamais à le relier à la vie de quelqu'un. Cependant, fais moi plaisir et ne fais pas le con stp.

Je repasserai.

Flienfels

P.S.: corrige les fautes d'orthographe et de grammaire stp! C'est pas possible de le laisser ainsi! :P
Info
J'ai une surcharge de boulot IRL en ce moment. Vous savez ce que c'est... boulot boulot boulot...



Cela dit... J'adore mon boulot! :love:

Ce message a été modifié 1 fois, dernière modification par "Flienfels" (09.09.2009, 12:16)


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09. 09. 2009, 10:26

Moi je dis bourééééééééééé le Turmi :D

(Pas tapé >.<)


Allez, plus sérieuseent, je t'avoue que j'ai beaucoup aimé ce texte, même si il est très peu compréhensible. Et c'est justement ce flou et cette incompréhension qui le rendent sympa! Les sentiments sont là, pêle-mêle, mais la colère transparait très bien. Et je pense que tous ce.... bah flou est dû à l'alcool, ce qui nous (enfin, moi) met bien dans l'ambiance et dans la tête d'une personne haineuse et imbibé (Quoi? C'est pas ça? 8| )

Et comme je ne suis pas une littéraire comme Flienfels et Lost qui arrive à te faire une tartine de commentaire, je vais résumer ce que je pense en quelques mots (si j'essaye de faire comme eux, j'vais pas réussir, déjà que je m'embrouille avec ce que j'ai mis un peu plus haut >.<):

J'ADOREUH!


J'crois que ça résume bien :D


~~~ Pourquoi croire en Dieu quand on peut croire en Nous? ~~~

~~~Danse pour moi esclave de la fainéantise!
Ton Zéphyr de hargne n'est tout au plus pour moi qu'une bise.~~~
From Eury-the-cat

Chat femelle # 1 ™

7

09. 09. 2009, 13:20

J'ai lu aussi, j'ai aimé aussi :)

Pour moi, je vois ça comme un type qui a un problème, un GROS problème même. Et il est là, seul avec ses pensées. Les autres "personnages" (façon de parler vu qu'ils n'interviennent pas vraiment) ne servent à rien, ils ne sont pas là pour lui, tout en étant là vu qu'il songe à passer sa colère sur eux.
Et l'alcool le fait partir dans des délires incohérents, sans lien entre eux, du moins pour le lecteur. Il y a sans doute une chaîne de pensée ici, sauf que nous on a pas tous les maillons, d'où le flou ^^

Ouais, vraiment, j'ai bien aimé. Je serais pas capable de faire un super commentaire de la mort qui tue, mais voilà, ça me plait ;)
J'ai arrêté de jouer...


Chat #1!(autoproclamé)

8

09. 09. 2009, 13:26

Bah déjà, si ça plaît, on va dire que vous ne m'en voudrez pas si je met mes "idées" en pratique...
Pas de panique, je n'ai jamais pensé à me supprimer, je tiens trop à la vie.

Et pour répondre à vos insinuations :
Non, je n'étais pas ivre mort, il me faut quand même plus qu'un demi et trois picons pour être beurré, non mais oh !

Mais il est vrai que le fil de mes pensées étaient un peu décousues tout de même... Pour tout dire, à certains moments, je me perdais à regarder un couple, un groupe d'amis, une petite vieille avec son clebs et à les massacrer mentalement.
"La foi, pour celui qui se tient au bord de tout ce qu'il connaît, et qui s'apprête à se jeter dans l'obscurité, c'est la certitude qu'il ne peut se passer que deux choses : qu'il trouvera sous ses pieds quelque chose de solide, ou qu'il apprendra à voler"
Horus Lupercal.

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09. 09. 2009, 21:34

Pour moi, je vois ça comme un type qui a un problème, un GROS problème même. Et il est là, seul avec ses pensées. Les autres "personnages" (façon de parler vu qu'ils n'interviennent pas vraiment) ne servent à rien, ils ne sont pas là pour lui, tout en étant là vu qu'il songe à passer sa colère sur eux.
Et l'alcool le fait partir dans des délires incohérents, sans lien entre eux, du moins pour le lecteur. Il y a sans doute une chaîne de pensée ici, sauf que nous on a pas tous les maillons, d'où le flou ^^
Kalfa là tu m'épates.
Tu as parfaitement résumé à mon avis la situation. Je partage ton avis sur le texte de Turmac.
(Comme quoi pas besoin d'en faire des tonnes- comme je fais- )

Sinon Xue ton commentaire est le bienvenu je trouve.
Tu dis ne pas être littéraire, permets-moi d'en douter.

Tu vois Turmac que ton texte est intéressant^^
"On est reçu selon l'habit, reconduit selon l'esprit"
concours UT- Naissance d'une cité-
[RP perso] Guerre du sang: L'Origine!


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11. 09. 2009, 21:18

En gros je suis fan :d

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12. 09. 2009, 10:42

a ce que je vois....

on aime tous le texte de turmac :!: moi aussi :D
Je suis malade de la saleté qui me rongent de l'intérieur, Malade de voir des gens qui ne connaissent pas leurs chances, Beaucoup de gens de sont pas reconnaissent d'être en vie, Mais pas vous, plus maintenant !! LA PARTIE EST FINI !!
divin sur Moria II