Voici un autre texte que j'ai écrit por mon aimée. L'ayant déjà publié sur un site publique, je me permets d'essayer d'égayer un peu la vague de douleurs oubliées et de blessures endurées que j'ai réveillé en vous avec mon poème on ne peut plus triste. Vous reconnaîtrez évidemment ce style sensuel. Et oui, j'ai eu un trés bon maître. En espérant ne pas être trop insolent ni aller au-devant des règles, je souhaite que vous appréciez ce poème pour ce qu'il fait vire, et non ce qui y est écrit (Ouais, alors là j'ai tout, mais alors TOUT compris !!!
). Je m'explique: ce texte raconte un moment intime, parmi d'autres, que j'ai raconté suite à un poème que m'avait adressé ma Dame. J'ai donc écrit ceci. Les mots y évoquent bien évidemment des sensations charnelles plus souvent gardées intimes. Mais je me suis bien sûr garder le privilège des détails, je ne vos convie qu'à revivre les émotions partagées pendant ces moments où seuls existent vous, la personne de votre coeur (et non de votre choix !!!) et les émotions assaillant votre système nerveux lors de ces ébats plus souvent psychiques que physiques (Et voilà, il recommence... pfff, quel frimeur... ouais et ?). Donc voilà, appréciez-le s'il vous plaît... (Et si ça vous plaît pas ben c'est tant pis !)
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Emprise...
Tu te dis friandise et je ne peux qu'en convenir. Mais peut-être as-tu fait l'erreur d'attirer un gourmand. Mes griffes éplucheront tes vêtements pour en découvrir ce corps d'albâtre qui me fait tant envie, et qui, comme tu dis, me fait languir. Une fois dénudée, je caresserai ta peau satinée, goûterai tes lèvres au goût de miel, embrasserai chacun des grains de ta peau sucrée pour me délecter de toi. Et puis lentement je te tourmenterai ainsi, à force de caresses et de baisers, je t'emmènerai sur la voie du plaisir et de la décadence jusqu'à ce que tes sens ne te communiquent plus que les frôlements de nos corps et les trésaillement de notre amour. Et lorsque, légèrement éssouflée et satisfaite de mes attentions tu te mettras à penser à ce que tu venais de ressentir, mes mains t'enflammeront à nouveau, t'entraînant encore et encore sur ce chemin perdu où l'amour, le désir et la passion flirtent avec la démence et l'oubli jusqu'à ce que l'aube vienne nous emporter vers un dernier paroxysme. Et tu t'endormiras alors, au doux son des "je t'aime" t'assaillant alors.. pour te réveiller plus tard avec la même personne te répétant qu'il t'aime. Car oui je t'aime, et tant que je mènerai la danse, il n'en saurait être autrement. Je t'aime et cela est la seule emprise que je t'impose. Je n'aurais pas de chaînes ou de menaces, point de peines et autres absurdités pour t'obliger à rester. Je t'aimerai c'est tout...