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12. 12. 2007, 21:23

Les Fabuleuses Spéculations du Pr Varimathras

Bonjour,
Moi, le professeur Varimathras, fièr membre de l'académie des blablas de Ogleflopp,
vais tâcher dans ce texte de délivrer ma thèse quant à la naissance des vampire, ainsi qu'à leur histoire et leur développement.
Ps : Ce que j'écris est ma propre vison romancée de la naisance des vampires, pas la peine de venir mettre des commentaires de correction, cela n'engage que moi. Merci ;)

On ne sait pas exactement à quand se rapporte l'existence du premier des vampires, mais l'on sait, pas certains textes, les histoires, souvent tristement célèbres, des premiers suceurs de sang.

Le premier vampire serait apparu au temps des croisades, précisément lors de la première, menée par les Francs, dont on peut estimer l'année entre 1095 et 1099.
Les Francs, poussés par leur foi inébranlable avaient déferlé sur cette région avec une fougue souvent confondue avec la folie, avait conquis de grands territoires en peu de temps, nottemment grâce à la discorde qui séparait les peuples arabes de l'époque.
Ces Francs, après de longs mois de voyages dans des conditions inhumaines, mourrant de soif, de fatigue, de faim et de maladie, avaient été profondément décalés du monde réels, si bien que, certains d'entre eux, ce que l'on nommaît alors les "Delirium Tremens", les pires, s'addonnaient aux pires atrocités.
Ils embrochaient les enfants sur des piques avant de les faire rôtir, ils dépeçaient les morts et s'habillaient de leur enveloppes, ils crevaient les yeux des prisonniers, les armaient des fléaux, et les obligeaient à se battre entre eux, ils sellaient leurs cheveaux de cadavres, bref, la réalité n'était perçue par eux que comme un cauchemard.


Leurs frères, les Hospitaliers, conscients de la folie qui les envahissaient les confinèrent dans un krak fait de basalte et les renommèrent, pour leur bien, les Templiers Blancs.
Ces derniers passaient leurs journées à s'autoflageller pour la gloire de Dieu, certains se sont crucifiés pour lui, et, à l'instar de ce qu'espéraient les Hospitaliers, ils ne revinrent pas à la raison, ils sombrèrent dans le délire le plus profond, le plus obscur, le plus sanglant et, leur vision de la religion tournant vers les profondeurs.

Un texte relatant la discution entre un des Templiers Blancs et un inquisiteur a refait récemment surface, voilà ce qu'on en a pu tiré :

-Hubert, avez vous oui ou non craché trois fois sur la croix ? Hurla l'inquisiteur en frappant sur la table.
-... Le Templier Blanc reste prostré, le regard vide.
-Hubert, avez vous commis ce sacrilège oui ou non ?
-Monseigneur, reprit l'homme de sa voix nasillarde et fiélleuse, est-la croix qui importe ou ce que l'on fait pour la croix ? Car oui, j'ai craché sur la croix, mais j'y ai également versé mon sang... et mes tripes ! Sur ce, l'homme relève sa toge, laissant apparaître une cicatrice jeune, immense, si grande que l'on pût croire que l'homme eût été coupé en deux.
-L'inquisiteur, n'en croyant pas ses yeux, recule. Hu...Hu...Hubert, je... je crois que... que vous êtes ... un martyr ! Mon fils, je vous bénis.
-L'autre homme se retourna et, regardant vers le fond obscur de la salle, dit : Alors, Maître, qu'ais-je fait, bien ou mal ? BIEN OU MAL ?! Il est pris de tremblements, sa figure se tord. Il reprend, Mal ? MAL ?! Je vais me purifier Maître, oui Maître, tout de suite ! Il soulève à nouveau sa toge, saisit les deux parties de sa plaie et dans un bruit de déchirure à faire grincer des dents Satan, hurlant comme diable, il ouvrit sa cicatrice , déversant tripes et boyaux sur la table. Son oeil, comme couvert d'un voil blanc, écumant, il finit dans une plainte : Aaargh, j'arrive ! Puis s'addressant à l'inquisiteur, Enterrez moi pronfondément !

Suite à cet évènement, l'inquisiteur terrorisé demanda à ce que l'on fouille la salle, pour voir à qui il s'était addressé avant de se donner la mort, mais la salle était vide...
Le clerc jurait avoir entendu un rire diabolique, sardonique du fond de la pièce, il disait avoir entendu Satan, et on le retrouva le lendemain dans sa chambre, mort. Il s'était ouvert les tripes.

La folie est contagieuse, et c'est là qu'elle est la plus dangeureuse.

Cet extraît nous permet de voir dans quelle ambiance les Templiers Blancs pouvaient vivre.


Bref, la fin de la première croisade se marque par la reconquête de Jérusalem par les Sarrasins. Mais bien que les historiens de l'époque décrivent le massacre de Jérusalem si mortel, que l'on marchait avec le sang jusqu'aux chevilles dans la ville sainte, ce ne fut pas la dernière et la plus horrible et sanglante des batailles, mais celle de la prise du Krak de basalte, la demeure des Templiers Blancs.

Les arabes, ayant pris positions autour du Krak pensaient avoir leurs ennemis par l'usure, mais ils ne savaient manifestement pas à quel sorte de dément ils avaient affaire.
Dès l'arrivée des assaillants autour du Krak, les Templiers s'étaient jetés à la salle d'arme, armés en force, ils fondirent sans crier gare sur les mahométans, taillant en pièces les premières lignes enemies sans presque compter de morts, criant des psaumes à la gloire de leur Dieu déformé et tranchant à travers les chaires.

Les Templiers, finirent par être vaincus, mais bien qu'aillant jaillis à seulement 800 de la citadelle, ils avaient tués 6500 hommes de meilleure lame de Salladin. Ce dernier, impressionné par leur vigueur, il était bon joueur, décida de laisser la vie à certains d'entre eux, aux 7 survivants, mais pas intacts, car l'exemple serait remembré pour des siècles.
Et les 7 survivants furent rejetés dans le désert. L'un avait le nez coupé, L'un les oreilles arrachées, L'Un les lèvres cousues, L'autre la langue coupée, L'autre les mains broyées, L'autre les yeux crevés et le dernier avait subi l'ensemble de ces punissements, tous rejetés, et destinés a mourir de soif dans le désert. Mais, une fois encore, les Sarrasins avaient sous-estimés les Templiers Blancs, et ils survécurent. Alors qu'ils marchaient dans le désert, enclins à la fatigue, à la soif, à la faim et à la folie, ils firent la rencontre du Démon Azraël, ce dernier avait entendu leurs plaintes, il était sorti du sable et leur avait proposé un marché qui les maudirait eux et le monde des vivants.

Leur peau deviendrait pâle et craindrait la lumière du soleil, leurs canines s'aggrandiraient, ils se nourirraient de sang et seulement de sang. Leurs traîts prendraient ceux des chauves souris. Ils deviendraient des marcheurs de la nuit, incapables de retenir leurs instincts de tueurs.

N'ayant pas le choix, et impressionnés par le puissant Démon, ils acceptèrent, et d'une goutte du sang du Démon buvant, ils devinrent les premiers vampires.

Les survivants, se cachant le jour, se rendirent rapidement compte des fabuleux pouvoirs que le Démon leur avait conféré. Ils se déplaçaient plus rapidement, leur force s'était décuplée, ils voyaient le monde d'une manière tout à fait différente, une vision qui leur donnaît continuellement soif. Après des nuits de marche, ils arrivèrent enfin au bord de la mer, et rencontrant un village, ils attendirent le crépuscule et massacrèrent les villageois en un temps ridicule, se rendant ainsi compte de la véritable ampleur de leur pouvoir, et c'est dans le sang mélangé du millier de villageois que ces derniers gravèrent le pacte en leur chaire.

Ces abominations réussirent à se glisser dans des embarcations vénitiennes et rentrèrent en Europe.

On retrace les cheminements des vampires à plusieurs endroits du continent, Deux sont allés en France, Un en Angleterre, Un en Italie, Un en Prusse, Un en Transylvanie et Un en Russie.

Voilà tout ce que l'on sait de l'origine des premiers vampires, dans le prochaîn chapître, j'aborderai la question de la reproduction du sujet.

Merci de votre attention.

Ce message a été modifié 3 fois, dernière modification par "Varimathras" (18.12.2007, 20:50)


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16. 12. 2007, 22:03

Ce que j'aime bien, c'est que dans ta "propre vision romancée", on retrouve quand même des faits réels, qui n'en troublent que plus la limite séparant la réalité et l'imaginaire. Cela nous rappelle également que de nos jours beaucoup de monde craigne l'imaginaire quand il est horrible, alors qu'en cette ère, ceux ayant peur de l'imaginarie était probablement plus proche de la réalité... (se retourne pour voir qui a pu sortir un truc aussi compliqué sans s'emmêler les pinceaux)... enfin j'me comprends.

Bravo ^^
Gardes tes amis prés de toi et tes ennemis encore plus prés...

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17. 12. 2007, 11:45

D'abord, merci pour ton commentaire, je me mets à la tâche pour la suite.


Le professeur Varimathras reprend ses fabuleuses théories sur les vampires !

De la reproduction du vampire

On ne connaît pas exactement la méthode de reproduction des vampires, bien que certains écrits, manuscrits et grimoires en fassent état, on ne recense pas de sources précises, de preuves scientifiques voire même de témoignages concrets, ces derniers étant le plus souvent ceux de vieux fous.

On prête aux vampires la faculté de se reproduire de différentes manières, plus ou moins autorisées et plus ou moins vénale.

Le vampire peut se reproduire, ou procréer, des manières suivantes :

-Rapport sexuel avec un autre vampire.
-Rapport sexuel avec un humain.
-Mordre un humain et faire de lui un vampire faible.
-Mordre un humain et faire de lui une goule.


Nous allons tout d'abord procéder par ordre d'énonciation, le premier étant :
Rapport sexuel avec un autre vampire.

Donc, comme toutes formes de vies, les vampires peuvent procréer par des moyens sexuels, consistant comme chez l'humain à l'assemblage de deux gamètes, l'un mâle et l'autre femèle, puis développement de la progéniture dans le corps du spécimen féminin. Le vampire, être évolué, est bien moins sujet que l'humain aux pulsions sexuelles dues à des phénomènes hormonaux et glandulaires, si bien que l'act n'est reproduit que peu de fois chez le vampire pure sang.
Ainsi, il est rare qu'un vampire ai plus d'un unique héritier, d'abord pour les raisons que je viens d'énoncer, mais également par crainte pour le patrimoine familial, dont la naissance de plusieurs enfants pourraient diviser le capital, car les vampires sont d'excellents hommes d'affaires, financiers et banquiers (je peux vous l'assurer, mon agent immobilier en était d'ailleurs probablement un !).
De plus, les émotions entre l'humain et le vampire sont très différentes, d'abord par l'éducation, ensuite par la nature froide et distante des vampires, et enfin pour les raisons biologiques évoquées plus haut. Ces "problèmes" biologiques réduisent en fonction du degré de pureté du vampire, les vampires de plus basse futée sont ,eux, friands d'orgies. Prenons comme exemple le représentant éminent de leur race, Nosferatu, qui n'est pas des plus joviaux, ne s'accouplera que relativement peu au cours de son éternité.
Voilà pourquoi on peut juger que ce mode-ci de reproduction est chez le vampire secondaire, voir unique, encore heureux pour notre espèce humaine que ces abominations ne s'accouplent comme lapins.



Passons désormais au second mode de reproduction cité :
-Rapport sexuel avec un humain.

Comme expliqué ci-dessus, l'accouplement entre deux vampires n'est pas courant, mais il l'est encore moins entre un vampire et un humain. Les résultats de ces croisements sont la plupart du temps le résultat de viols.
En effet, les vampires de la plus basse race sont des êtres violents et pervers qui choisissent parfois de violer une jeune fille, avec rarement la volonté de l'engrosser, excusez moi du terme.
Mais, et je dis bien mais, il y a des exceptions. Eh oui, ces malheureuses créatures doivent, en plus, ne pas avoir de règles de vies fixes, avec sans doute la maligne volonté de contredire les scientifiques tels que votre serviteur. (moi).
Donc, revenons à nos vampires, il y a parmi eux certains spécimens, probablement abbreuvés de roman à l'eau de rose, se prennent d'amour pour une ou un humain, et s'engagent dans des galanteries qui finissent bien souvent dans le sang, le plus souvent dans celui du second. On peut estimer que le vampire peut avoir et exprimer des sentiments, tels que l'amour. Halala, que c'est beau tout ça.
Enfin bref, retournons au point de vue scientifique.
La progéniture de ces unions sont des vampires, car ces derniers possèdent probablement un gène dominant, et peuvent être considérés comme à 2/3 pur par rapport à la pureté sanguine du parent vampire. C'est pourquoi, un vampire de haut sang ayant un enfant avec un humain donnera la vie à un vampire relativement équilibré et puissant, alors qu'un vampire roturier de bas sang donnera la vie à un être pas plus intelligent qu'un veau et plus méchant qu'une oie (oui, c'est très méchant les oies).
Le point le plus dérangeant quant à ces vampires/humains, est qu'ils conservent une grande partie des traits humains, ce qui les rend plus difficilement reconnaissables, plus beaux également, mais surtout qu'ils craignent moins les rayons du soleil que leur géniteur. Cette race est peu désirable pour notre espèce.


Passons à présent à la troisième partie, à savoir :
-Mordre un humain et faire de lui un vampire faible.

Ce message a été modifié 5 fois, dernière modification par "Varimathras" (18.12.2007, 20:47)


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18. 12. 2007, 20:43

Aller, je m'attaque à la fin.


Passons à présent à la troisième partie, à savoir :
-Mordre un humain et faire de lui un vampire faible.

Un vampire peut mordre un humain et disposer de lui de deux façons différentes, grâce à une espèce de "venin" produit par des glandes absentes chez l'Homme et ainsi contaminer la proie et ainsi l'asujettir. Il peut choisir de faire de lui un vampire vulgaire ou, moins désirable, une goule.
Les capacités glandulaires du vampire sont très intéressantes à observer, nottemment aux niveaux génétiques et biologiques. Le phénomène de transformation est, comme je l'ai observé "se lance des fleurs"(à lui et à wikipédia ^^
), relativement similaire au processus de la rage :
  • La rage développe un comportement agressif notamment par la morsure et déforme le visage, pouvant laisser apparaitre les dents.
  • La rage donne un teint pâle à qui en est atteint.
  • La rage peut être véhiculée par des chauves-souris.
  • Les patients rabiques souffrent d'hypéresthésie en fin de vie (sensibilité à la lumière, peur de la lumière du jour).
  • Les patients rabiques souffrent d'hydrophobie (peur des liquides, donc de l'eau bénite).
  • Les patients rabiques peuvent souffrir d'hypersensibilité aux odeurs fortes, comme par exemple celle de l'ail.
  • La rage peut entraîner des insomnies donc une forte activité la nuit.
  • La rage se propage, entre autres par la morsure.

Ce message a été modifié 2 fois, dernière modification par "Varimathras" (20.12.2007, 21:26)


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20. 12. 2007, 21:51

Donc, revenons en au fait avec ce mode :
-Mordre un humain et faire de lui un vampire faible.

Un vampire peut donc mordre un humain et faire de lui vampire relativement faible, car comme on le sait, les aptitudes des vampires baissent en fonction des générations de morsure, pas des générations sexuelles entre vampires.

L'humain mordu par le vampire subit une transformation longue et douloureuse, car son organisme tache de combattre le parasite injecté par le vampire mais en vain, ce dernier finira par prendre le contrôle de son hote.
L'humain transformé en vampire tente de résister au besoin de sang, mais souvent ces tentatives se soldent par une rage folle et sanglante où les sujets massacrent bon nombre de leurs congénères, c'set après quoi, après leur première tuerie, les néo-vampires, comme on les nomme, ont accepté leur nouvelle nature. C'est ce qu'on appelle le Cap du Sang.
Les vampires purs peuvent, socialement, cohabiter avec ces néo-vampires, mais ils les méprisent pour leur faiblesse ainsi que pour leur impureté, car, oui, il y a une certaine notion de racisme de chez les vampires.
Les néo-vampires acceptent relativement souvent leur rôle de laquet de vampires plus puissants, d'abors à cause de leur infériorité, ensuite à cause du fait que les humains mordus, ce qui est rare, sont aféodés au "mordeur".

Car oui, la morsure d'un humain dans le but d'en faire un vampire est rare. Les vampires géniteurs, quand ils mordent, cherchent des humains de qualité exceptionelle, souvent des sujets soit très musclés, sois intelligents, soit serviables, mais, rares sont ceux qui ont été mordu par amour.
Les vampires sont très titilleux sur ce point-ci.
Encore heureux pour notre espèce...


J'écris la suite demain, puis j'écrirai des poèmes, ou des histoires de fesse, puisque vous avez l'air de plus aimer ça.

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20. 12. 2007, 23:11

J'aime beaucoup, trés bien écrit et trés professoral justement. J'aime bien, et la plupart de ces choses sont si bien décrites et expliquées que l'on pourrait s'attendre à en voir les mêms dans desmanules de sciences naturelles (et je parle pas de la chauve-souris qui suce soit-disant le sang...). Bien joué, et merci ^^

Euh par contre, pour les histoires de fesse, je dis pas non de temps à autre, surtout quand c'est moi qui vit l'histoire, mais une romance passionée telle qu'écrit Elvira peut difficilement être vu comme cela... Et puis franchement, je prends personnellement bien plus de plaisir à lire et écrire de belles histoires avec des sentiments bien décrits que de lire une histoire d'un gars qui chope une nana sous les ponts et lui fait dépoté l'gluant 9 mois aprés...
Gardes tes amis prés de toi et tes ennemis encore plus prés...

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21. 12. 2007, 15:46

C'était de l'humour, évidemment...

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21. 12. 2007, 16:51

Même po drôle !! Enfin si mais bon, j'étais dans le brouillard alors voilà....
Gardes tes amis prés de toi et tes ennemis encore plus prés...

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